Il s’agit typiquement d’un tête de réseau présentant 3 entrées et deux rivières sur la couche de schistes argileux. Il devrait rapidement rejoindre Shuanghedong dans le secteur de la salle de la mousson. Les remplissages sont importants. Les terminaisons des branches remontantes semblent alignées sur une fracture. Les gros puits inexplorés sont au nombre de 6. On compte pour le moment 3 étages.
Accès : il est désormais possible de se rendre en voiture depuis Shuanghe jusqu’au hameau de 湛教 Zhànjiào d’où la vue sur le massif est superbe. La première entrée, l'entrée du panda, n’est qu’à 130 m à l‘ouest de la dernière maison, 50 m en contrebas. La forêt comporte de nombreux sentiers qui s’entrecroisent. Il sera préférable d’avoir un guide ou de venir par temps froid pour la trouver, de même que la seconde entrée située à la même altitude mais 15m au sud. La troisième entrée est plus aisée à trouver : elle est un peu plus bas, au bord d'un sentier bien taillé qui suit un petit canal.
Par l'entrée du panda : le courant d’air soufflant en hiver fait bouger les feuilles des arbustes environnants. On descend dans un méandre fossile. Après un rétrécissement ponctuel provoqué par des coulées de calcite, le gabarit devient tout à fait convenable (1x 4 m). Une branche secondaire partant d’un ressaut de 2 m remonte en direction de l’entrée. Elle s’achève sur des passages impénétrables par colmatage.
Le méandre à l’aval présente un ressaut de 4 m, puis mène à un P20 dont le fond s’avère impénétrable. La suite est en lucarne 4 m plus haut. Au fond du puits comme aux abords de l’étroiture de la lucarne se trouvent des os de panda collés par la calcite.
Après l’étroiture, on descend un puits de 17 m. La cavité s’élargit. Après un nouveau ressaut de 4 m et une descente en opposition, on prend pied dans un petit actif. Il a été exploré en amont jusqu’à la base d’une petite cascade de 6 m. En aval, on continue dans une haute fracture séchée par le courant d’air qui, en 120 m, rejoint une rivière plus importante.
On débouche en effet au bord d’une salle parcourue par l'actif plus important que nous appelons "la première rivière".
En haut du R4 précédant le P20, on peut traverser pour passer par un réseau supérieur. Il rejoint à 4 reprises par des puits les passages précédemment décrits. Des escalades au-dessus du P20 n’ont pas permis de trouver l’origine des os de panda. Plusieurs rats ont été observés ainsi qu’une grosse civette.
La deuxième entrée : c'est une grotte fossile mineure, avec des laminoirs secs et un méandre de surcreusement bloqué par la calcite. Le courant d'air principal conduit à une jonction avec l'entrée du panda juste après le premier rétrécissement. Un des laminoirs ventilé pourrait être prolongé par une brève désobstruction. L'autre est définitivement trop étroit et d'après sa direction le courant d'air devrait ressortir en surface.
L'entrée du porc-épic : c'est un large laminoir surcreusé. Un gros courant d'air provient directement d'un puits non descendu au fond du surcreusement ainsi que d'un autre petit puits dans une fracture qui le prolonge. Mais il y en a encore dans la galerie fossile qui a été explorée. Tout d'abord un peu basse de plafond et orientée au sud, elle prend de la hauteur en tournant vers l'est qui est proche de la direction du pendage. Un méandre fossile affluent remonte sur la droite jusqu'à un colmatage. L'aval est un large méandre fossile présentant quelques ressauts. Une petite salle présente au sol des épines d'un porc-épic dont on devine les restes sur un palier d'un des deux puits remontants qui la forment. Un peu plus loin, on descend un puits de 14 m fractionné. Le méandre, légèrement actif depuis un petit puits affluent situé après le P14, perd de la largeur et de la hauteur, puis rejoint une rivière plus importante coulant dans une galerie. C'est la première rivière, découverte par l'entrée du panda. La jonction n'est qu'à 50 m au nord, vers l'aval. A cet endroit, on ne peut la suivre en amont que sur quelques mètres : elle arrive d'un petit griffon perché.
Une cinquantaine de mètres avant d’arriver à la rivière, il est possible de monter dans les hauteurs du méandre. On trouve alors trois méandres supérieurs. Ils forment une sorte de delta étagé débouchant par des puits ou ressauts dans la galerie où coule la rivière.
La galerie des six puits : l’aval a de la première rivière a été suivit en longeant la paroi de gauche, le bord droit du conduit dans lequel elle s’écoule étant généralement une trémie, parfois calcifiée. Dans le lit de la rivière, principalement constitué d'une couche de schistes argileux recouvert de blocs effondrés, on remarque fréquemment des petits ensembles stalagmitiques inclinés ou couchés par affouillement de leur base. Le courant d’air ne passe pas dans l'actif qui s’achève par une cascade dans un grand puits.
Environ 150 m en amont de ce puits, on peut monter sur la droite dans une galerie fossile. En allant au nord-est, direction de l'aval, on trouve au fond d’une salle un premier gros puits sous un bloc monumental. Plus loin dans la même direction, la galerie, de 20 m de diamètre, est percée d'une succession de 4 gros puits que l'on contourne par des vires. On entend la première rivière tomber en cascade dans le premier d'entre eux. De belles stalagmites se sont formé sur les vires. Une trémie marque la fin des grands volumes. Le courant d'air a révélé un passage vers une suite plus petite présentant aussi un sixième puits très profond. Les puits n'ont pas été sondés car nous sommes au-dessus de la salle de la mousson dans laquelle une escalade de 200 m a été faite. Les cordes étant en place lors de l'exploration, il ne fallait pas prendre le risque de les endommager. Une escalade de 15 m, à proximité du troisième puits, permettrait d'accéder à un méandre amont. Une mouche a été observée dans ce secteur, ce qui laisse penser qu'il y a une entrée proche.
Le premier puits : il est profond de 40 m. En bas, l’ambiance est bien boueuse. Une descente à travers un effondrement de blocs mène à un nouveau puits non descendu. Les diverticules sur la droite dans la descente permettent d’approcher un puits parallèle non descendu également. On retiendra que ces puits sont distincts de ceux de la galerie des six puits. Il est possible qu’ils descendent directement au niveau de Shuidong où un grand puits remontant à été observé.
Le cinquième puits : il n’est profond que d’une trentaine de mètres. En bas, la partie arrosée présente beaucoup de petits ossements : il semble que ce petit actif provienne d’une perte proche. Dans le chaos, seul les continuations possibles présentant du courant d’air d’aval ont été explorées, les autres semblant n’être que de la trémie ventilée et arrosée. On débouche ainsi par deux balcons lucarne dans le puits suivant, l’accès le plus facile étant celui qui débute par un petit ressaut et semble aller vers l’amont.
Vers le haut du P40, deux lucarnes mènent à un regard sur l’amont d’une rivière, qui pourrait être la première rivière. Il faudrait une corde pour descendre, mais il sera plus pratique de l’explorer en passant par le deuxième puits de la galerie des six puits.
Le bas du P40 est en fait un énorme bloc entouré de verticales. Descendre vers l’est mène à un balcon au-dessus de l’aval de la rivière, ce pourrait être l’option à privilégier pour la prochaine exploration. Descendre vers le sud, par un P15 toboggan et un P9 suivit d’un ressaut permet de prendre pieds dans la rivière. Elle provient d’une cascade, on peut la suivre en aval jusqu’à un puits non descendu.
Le sixième puits, première jonction avec Shuangheshuidong : il n’a été en fait descendu que sur 25 m, puis, par un pendule pour atteindre une lucarne, on tombe rapidement sur un puits de 235m. Les cordes emportées étant insuffisantes, il n’a été descendu que sur 175m. Toutefois, il est certain que sa base se situe dans Shuangheshuidong, proche de la salle de la mousson, dans le secteur où de gros os ont été trouvés. Les jonctions réalisées ultérieurements et topographiquement raccordées, l’ont confirmé.
La salle des six balcons : au niveau du premier des gros puits, une galerie repart vers l’amont. Elle a été explorée jusqu’à une étroiture désobstruée derrière laquelle il y a une grande salle ronde où on entend lune cascade, c'est la seconde rivière. On ne peut pas y descendre car on est en balcon au-dessus d'une pente très raide due à un grand soutirage. On peut aussi accéder à cette salle en poursuivant dans le prolongement amont de la galerie fossile au-dessus de la première rivière. On circule entre paroi et trémie. Un passage étroit et remontant sur la gauche débouche à nouveau en balcon. Une vire sur la gauche permet d'accéder à une petite salle avec un méandre arrivant d'un P5 remontant. Si l'on poursuit entre paroi et trémie, on est forcé par une coulée stalagmitique à remonter et arriver sur le troisième balcon. Le quatrième balcon occupe tout la partie sud de la salle qui atteins 40 m de diamètre. Il présente un énorme pan de strate effondré. On y accède depuis la première rivière en montant dans les blocs en rive droite de la première rivière, en face de l'arrivée du panda. Cet accès est bon à connaître car c'est le plus pratique et la pente argileuse du soutirage est praticable de ce coté. On peut donc descendre et atteindre le cinquième balcon et le sixième balcon dont nous reparlerons plus loin.
L'aval de la seconde rivière : les deux méandres d'accès, par le panda et par le porc-épic, arrivent en fait au fond d'un soutirage. A mi-distance, un affluent arrive d’une coulée de calcite. Elle a été escaladée. En haut, on peut repérer une autre arrivée en hauteur depuis l’ouest. L’eau tombe d’un puits remontant. On est dans une galerie supérieure parallèle à la première rivière. L'accès au quatrième balcon est au nord-est. Au sud, on débouche dans la salle des deux rivières. Comme son nom ne l'indique pas, on y trouve pas une goutte d'eau. C'est une salle d'effondrement présentant des gros soutirages.
Le soutirage de gauche permet de rejoindre l'aval de la seconde rivière. Elle longe une fracture. Elle se perd dans les blocs. Une trémie semble vouloir bloquer le passage mais le courant d'air nous guide jusqu'à une grande salle ronde avec un important soutirage : on est sur le cinquième des six balcons.
On y retrouve donc la seconde rivière, en haut d'une cascade, c'est le sixième balcon. Elle provient d'une courte galerie sur les schistes argileux. En bas de la cascade, dans le fond du soutirage, elle s'infiltre à travers les blocs. Un passage permet de continuer à descendre. Tout se rétrécit et on peut sentir à nouveau le courant d'air. En bas d'un ressaut, un P25 constitue la suite évidente. Une suite moins évidente consiste à avancer en opposition au-dessus de ce puits. Le méandre n'est pas bien gros, mais sec. Il présente un carrefour au niveau d'un ressaut. En bas, un autre méandre plus petit, presque étroit, provient d'une lucarne dans le P25 et se jette dans un puits plus petit. En haut, une traversée permet de poursuivre dans un méandre amont. Il passe au-dessus d'un P15. Il s'agrandit subitement avec l'arrivée par la droite de petits puits remontants, puis reprend son gabarit initial et continue jusqu'à une bifurcation. A gauche arrive un méandre amont remonté aussi loin que pénétrable. Il présente de belles concrétions excentriques. Tout droit, on a une nouvelle bifurcation avec à gauche une descente vers le puits du bloc, un P10, avec un énorme bloc posé dessus et une galerie en trou de serrure qui reste à explorer. Tout droit encore, on peut poursuivre un peu, puis il se divise en fractures apparemment non pénétrables mais ce secteur n'a pas été très bien fouillé. Nous sommes 40 m sous la salle des deux rivières, séparés par la couche de schistes.
L'amont de la première rivière : dans la salle, du côté de l'amont, le second soutirage n'a pas été fouillé. La galerie atteint 20 m de large. Une lucarne en paroi droite pourrait être aisément atteinte. Plus loin, un petit affluent a été remonté jusqu'à une trémie. Encore plus loin et toujours du même coté un soutirage permet de descendre vers ce que nous avons tout lieu de considérer comme l'amont de la première rivière. Il y a du courant d'air, de direction anormale pour un amont. Au bout de 100 m une coulée de calcite le rend impénétrable. Une salle supérieur a été atteinte, mais une trémie empêche de poursuivre.
L'amont de la seconde rivière : la salle, toujours en longeant la paroi de droite, s'achève sur des trémies. Par plusieurs passages parallèles, on peut atteindre l'amont de la seconde rivière. Elle coule sur les schistes. L'amont est une vaste trémie. L'eau arrive de plusieurs endroits et la suite n'a pas été trouvée. La paroi de gauche de la salle présente une branche parallèle qui semble être un bras mort d'une rivière sur les schistes. On y accède aussi par des soutirages. L'extrémité amont du bras mort, qui correspond à l'extrémité de la salle, correspond aussi à un affluent de faible débit qu'il est possible d'atteindre en traversée à condition de placer quelques points d'assurance. Une série de petites escalades a permit de l'explorer jusqu'à des trémies. Il y a plusieurs branches. La seule continuation possible est un puits de 5 m au bout d'un boyau repartant en aval. Ce système est perché 15 m plus haut que le niveau des salles. Les ruisselets qu'il draine se perd dans les blocs au pied de la première escalade.
La salle perchée : avant l'endroit où la trémie se généralise, on peut atteindre en hauteur une petite conduite forcée, puis, en grimpant dans une fissure en bord de trémie, atteindre une salle perchée. C'est en fait un espace libéré par l'effondrement de la strate en quelques énormes bocks seulement, posés sur la trémie sous-jacente si on en crois la topo. Elle présente également des remplissages alluviaux (petits galets de schiste vert). Au sud-est, elle est fermée par une trémie colmatée à gros blocs. Au nord-ouest, on peut avancer dans une fracture presque jusqu'à la salle supérieur trouvée au-dessus de l'extrême amont de la première rivière. Il devrait être possible de forcer le passage, mais c'est sans intérêt. En chemin, on passe au-dessus d'un petit puits actif et au pied d'une petite escalade qui pourrait permettre d'atteindre un affluent. Enfin, une petite escalade en ramonage au sud-ouest de la salle a permis de trouver un petit boyau remontant ventilé qui pourrait être poursuivi par une petite désobstruction.
Les courants d'air de ce secteur présentent une anomalie. Nous sommes visiblement dans les amonts dans une zone fracturée. La direction du courant d'air dans l'amont de la première rivière et ce jusqu'à la salle perchée via un passage à forcé demande à être expliqué car c'est un courant d'air d'aval.
La deuxième jonction avec Shuangheshuidong : au point bas de la salle des six balcons, on trouve un P25. Il descend en escaliers de gros blocs en gros blocs jusqu’à une salle. On a sur le coté d’un P93 non descendu dont on reparlera plus loin. Il présente la particularité de ne pas capter la rivière qui passe tout proche de sont sommet. La suite évidente est un haut méandre. La rivière coule dans le fond, une quinzaine de mètres plus bas. En avançant en vire et en opposition, on atteint le haut d’un P49. En bas, on continue dans la rivière. C’est un parcours du combattant. Les marmites, les fond de méandre étroits, les passages en opposition un peu large, les désescalades limites... compliquent considérablement la progression. Un P7 est descendu sur corde. On atteint un P25 arrosé suivit d’un P50 non descendu, faute de corde. Avant le P25, une monté sur des banquettes mène à une bifurcation. A gauche, une galerie boueuse mène à un autre P50 avec une autre cascade. A droite, un P7 suivit d’un P3 débouche en lucarne dans un puits très profond... on est au niveau du terminus de l’escalade de la salle de la mousson dans Shuangheshuidong. Le raccord topo s’est fait sur un cairn 10 m plus bas. Au moins, cette escalade (189 m en artif) aura servit à quelque chose ! On sait maintenant que la cascade de la salle de la mousson correspond à la deuxième rivière de Huotudong. Il semble que la cascade entendue sans le second P50 corresponde à la première rivière. Il faudrait enchaîner 184 m de cascades pour rejoindre le réseau du zef here.
La lucarne sud du P49 : la roche peu compacte rend son accès problématique. Un banc rocheux un peu plus solide que les autres permet de traverser en haut du puits, puis d’y descendre. Il s’agit d’un méandre haut de 25 m. Il rejoint le méandre principal soit directement par une haute lucarne soit par un P9 et un méandre débouchant en hauteur au-dessus de la rivière. Nous sommes dans un amont fossile de parcours agréable et présentant quelques stalagmites. On chemine d’abord vers le sud, puis l’ouest. On revient donc tout près des salles de la zone d’entrée. Le beau méandre se divise et ses ramifications amont sont toutes bloquées par des trémies ou des puits remontant. L’un d’eux n’est autre que le puits du bloc, cité plus haut. Des descentes en très forte pentes, l’une active l’autre fossile, aboutissent par des puits à deux salles. La salle correspond au P93.
La troisième jonction avec Shuangheshuidong : pour l’exploration, la stratégie retenue a été de minimiser le matériel à emporter. Le passage par le puits du bloc, malgré son accès étroit, a été préféré au P93. En prenant la descente fossile, puis en équipant un P12, on prend pied dans la salle fossile correspondant à un balcon sur des gros blocs boueux dans le P93. Il reste 30 m à descendre pour en atteindre le fond. Une galerie amont, boueuse, mène par une trémie à la salle active. Une escalade de 8m permettrait d’explorer une rivière amont inconnue arrivant par un gros méandre. Il y a une autre belle arrivée et un P8 à descendre dans ce secteur au demeurant mal fouillé. En bas du P93, on trouve rapidement un P15. L’ambiance boueuse a fait préféré l’équiper en passant par un petit boyau actif. Le gabarit se rétrécit : on perd du volume dans les hauteurs. Le P7 suivant est une fissure arrosée puis boueuse suivit d’un second P7 qui suit est large. Il existe un passage supérieur, hors crue et large, mais encore plus boueux et réclamant plus de cordes. La rivière, dont le débit a été augmentée par un affluent entre les deux P7, part dans un méandre et se jette dans un P17 inexploré. La suite est un méandre large, mais boueux, sans doute à cause des embruns dus aux cascades précédentes. Lorsqu’il devient sec, c’est parce qu’on a laissé en hauteur un gros passage fossile menant à un P20 inexploré. La suite est bien plus confortable car les dépôts sont secs. On traverse en opposition large un petit puits non descendu qui annonce la descente dans les strates inférieures. On rencontre une succession de ressauts suivit de puits qui descendent en tourbillonnant. Les cordes ont manqué pour finir cette descente. Le dernier jet, d’une trentaine de mètres, atteints au prix de la désescalade de la fin de la marche précédente, correspond à un puits remontant atteint dans Shuangheshuidong près de la salle de la mousson. Au-dessus du petit puits non descendu, qui précède les ressauts, un large méandre supérieur a été suivi. Il se dédouble en deux branches : un passage inférieur qui revient vers un P5 proche de la zone des puits tourbillonnants et un passage supérieur. Ce dernier devient boueux à l’approche d’un petit affluent calcité, puis on arrive par un P10 à la troisième jonction topographiée avec Shuangheshuidong, dans l’amont exploré dans la lucarne de l’escalade de la salle de la mousson, là où les parois se resserrent.
[Jean Bottazzi]
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