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Fonctions | Type | Nom | Taille | Catégorie | Date | Version | Compteur |
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Information sur le fichier - ch_08 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 2 MB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 1 387 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Chapitre 8 : Diversité géomorphologique des karsts de montagne du Yunnan Résumé : Les karsts du Yunnan présentent un étagement bioclimatique et morphoclimatique complet, sur 5 000 m de dénivellation, l’un des plus remarquables de la planète, depuis les karsts tropicaux de basse et moyenne altitude de la bordure sud-est (fenglin-plaine à fenglin-ouvala) jusqu’aux karsts alpins et englacés du district de Lijiang, en passant par les karsts à poljés des plateaux prétibétains de Zhongdian. Son centre est occupé par le haut plateau du Yunnan, situé vers 2 000 m d’altitude, avec ses célèbres forêts de pierre comme à Lunan (Shilin). Cette région a subi également une déforestation dramatique au cours du XXème siècle, entraînant une intense érosion des sols, le décapage de nouvelles forêts de pierre incipientes et le soutirage des altérites dans l’endokarst. Du point de vue géologique, ces karsts font tous partie de la plateforme du Yangtse, l’une des plus vastes régions géotectoniques de Chine, qui s’étend de l’Himalaya à la Mer de Chine. Les karsts himalayens sont symbolisés par les Yulongxueshan (5 595 m), formés par des marbres du Dévonien recouverts par des glaciers. Ils présentent toutes les caractéristiques des karsts alpins : lapiés nus, dolines-puits, dépressions glacio-karstiques, karsts en roches moutonnées, karsts sousglaciaires. Cette zone de la bordure de l’Himalaya est marquée par une très forte surrection : encaissement du Jinshajiang sur plus de 3,5 km (canyon d’Hutiaoxia), terrasses fluviatiles étagées sur plus de 500 m (bassin de Daju) et forte sismicité. Entre Lijiang et Dali s’étend une zone karstique, entre 2 000 et 3 000 m, comprenant des hauts plateaux avec vallées semi-karstiques et poljés étagés ; le soutirage des altérites dans l’endokarst a été réactivé par la déforestation récente. Dans le double triangle du Yangtse, on observe de grands poljés au-dessus de 3 000 m et des vallées perchées avec pertes entre 3 000 et 4 000 m au contact des roches imperméables. Au-dessus de Dali, le massif Cangshan est formé par un karst anticlinal jeune entre 2 500 et 4 000 m dont la couverture de flysch a été décapée au cours du Quaternaire. Les karsts pré-tibétains de la région de Zhongdian, compris entre 3 200 et 4 900 m, font partie des Indosinides, vaste zone plissée allant du Tibet-Qinghai, Sichuan jusqu’à la frontière vietnamienne. Ils présentent des poljés d’altitude de grandes dimensions dont le poljé de Napahai (137 km2) situé à 3 250 m, avec au nord un drainage souterrain de grande ampleur vers la résurgence de Nixi. Deux sites hydrothermaux remarquables sont présents au sud-est : Shuoduoggang lié à une source chaude et Bashuitai lié à une source mésothermale. Les karsts à forêts de pierre du plateau du Yunnan sont visibles entre Kunming et la frontière du Guizhou. Sous le vocable “forêts de pierre”, on distingue deux formes de tailles différentes : les pinacles (shilin) pouvant atteindre plusieurs dizaines de mètres de hauteur et les dents de pierre (shiya) de 1 à 2 m de haut. Les dents de pierre, récemment décapées par l’érosion, constituent le stade initial de formation des pinacles. Les forêts de pierre sont polygéniques et offrent une grande complexité puisque les premières morphologies à pinacles datent du Permien avant leur fossilisation par les basaltes de la formation Emeishan. On attribue les pinacles à l’action dominante de la cryptocorrosion sous altérites en milieu drainant ou de battement de nappe, puis à leur retouche en milieu aérien après érosion des sols. Néanmoins l’hypothèse d’une longue phase préparatoire d’altération isovolumétrique (fantômisation) le long des joints, en milieu non drainant et en période de calme tectonique, doit être envisagé. Mots-clés : karst, géomorphologie, étagement, climat, glacio-karst, forêt de pierre, Yunnan. Auteur : |
ch_08 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 2 MB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 1 387 | |
Information sur le fichier - ch_09 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 2 MB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 1 545 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Chapitre 9 : Les grottes-tunnels de Chine, types et évolution Résumé : Une grotte-tunnel est un système perte-résurgence présentant généralement une rivière hypogée importante circulant dans des conduits de grandes dimensions. La notion de karst binaire est féconde lorsqu’elle est combinée à la notion d’étagement de grottes en zone de surrection, donc dans un contexte tectonique actif et de relaxation des contraintes. Dans les karsts de la plate-forme du Yangtse, de nombreux cours d’eau se forment dans des zones imperméables et donnent naissance à des grottes-tunnels de très grands gabarits lors de la traversée des massifs calcaires. Les types de grottes-tunnels sont très variés. Les ponts naturels désignent des tubes résiduels courts provenant du démantèlement de grottes-tunnels. Le géographe chinois Xu Xiake est à l’origine de l’expression Tian Sheng Qiao signifiant “pont naturel”. Certaines grottes-tunnels, de type monotunnel, peuvent présenter une confluence souterraine active comme à Biyun (Panxian) ou Duobindong (Xiuwen-Xifeng) dans le Guizhou. Les mono-tunnels à rétrécissements intermédiaires et obstructions sédimentaires sont illustrés par le système perte-résurgence de Yanfengdong- Ganhedong (Shizong, Yunnan) qui détient le plus haut porche de Chine (190 m). Les grottes-tunnels à coeur noyé et plan deltaïque de perte de charge sont symbolisées par la grande grotte-tunnel de Dadong-Longdong (Wufeng, Hubei). Les grottes-tunnels associant canyons à voûte effondrée et ponts naturels sont représentées par le type Yijiehe (Zhijin, Guizhou). Les grottes-tunnels à niveaux étagés sont illustrées par le système exemplaire de la Gebihe (Ziyun, Guizhou). Celui-ci traverse un massif de fengcong tandis que des tronçons fossiles, perchés à différents niveaux sur 400 m de dénivellation, ont enregistré les étapes de la surrection himalayenne. Les grottes-tunnels en série sont représentées par la Wutuhe (Panxian, Guizhou). Cette rivière présente une succession de parcours souterrain selon une série de grottestunnels séparées par des parcours aériens normaux ne résultant pas de l’effondrement de voûtes. Les grottes-tunnels sous vallée sèche sont illustrées par le type Gesohe (Panxian, Guizhou). Ce système perte-résurgence est alimenté par un bassin d’alimentation de 1 200 km2, d’où un débit à la perte pouvant dépasser 1 000 m3/s en forte crue. Les grottes-tunnels de capture sont caractérisées par une ou plusieurs captures d’un bassin hydrographique et topographique vers un autre. On connaît les grottes-tunnels de capture partielle de type Benxi Shuidong (Benxi, Liaoning) qui est un type intermédiaire entre le recoupement simple de méandre encaissé et la capture latérale d’une rivière vers une autre. Les grottes-tunnels de capture complexe comme à Shuanghe (Suiyang, Guizhou) associent une capture vraie et des captures locales. Une grotte-tunnel du Guizhou a une durée de vie de l’ordre de plusieurs millions d’années. Quand un tunnel devient sénile, un autre naît. L’histoire se perpétue tant qu’il y a une masse calcaire suffisante et une force tectonique qui soulève la montagne. Ce processus provoque un étagement des grottes-tunnels et s’effectue par le moyen du couple karstification-soulèvement. Un des problèmes majeurs est de savoir comment s’opère le passage d’un niveau de grotte-tunnel à un autre au cours du temps. Si la surrection tectonique est continue et régulière, on devrait avoir un seul grand réseau en canyon. Si la surrection est discontinue, le creusement karstique devrait se traduire par des niveaux étagés. Cet abandon ne peut se faire que par un processus de capture souterraine, lors d’une phase de surrection. Mais le système réagit aussi avec un certain retard (hystérésie) et dépend aussi du régime hydrologique, les eaux pouvant emprunter des parcours étagés lors des crues. Mots-clés : grotte-tunnel, karst, spéléogenèse, étagement, Gesohe, Gebihe, Guizhou, Chine. Auteur : |
ch_09 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 2 MB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 1 545 | |
Information sur le fichier - ch_10 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 2.5 MB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 1 588 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Chapitre 10 : Les indicateurs du milieu enregistrés dans les karsts subtropicaux de Chine Relations avec l’évolution géomorphologique et les paléoenvironnements Résumé : Dans les karsts subtropicaux de Chine, les altérites, les dépressions et les grottes ont enregistré certains paramètres de l’évolution de l’environnement. Il est possible de présenter un référentiel provisoire d’indicateurs karstiques valables pour le milieu naturel sans l’homme et avec l’homme. Les indicateurs génériques désignent les familles d’indicateurs présents à l’extérieur et à l’intérieur du karst : morphologiques, hydrologiques, chimiques, biologiques, sédimentaires, anthropiques. Ces indicateurs peuvent être instantanés (débit, chimie de l’eau) ou non instantanés. Les indicateurs morphologiques et sédimentaires externes permettent d’apprécier la vitesse d’érosion et/ou de sédimentation. Les indicateurs internes (spéléothèmes, rythmites) enregistrent les signaux périodiques, voire instantanés, de l’évolution du milieu, mais également les indices d’occupation humaine. Les indicateurs spécialisés (ou haute résolution) sont plus précis ; c’est le cas d’une laminite fluorescente de stalagmite attestant la présence de matière organique en liaison avec l’activité biopédologique de saison chaude. C’est le cas aussi des microlamines enregistrant les épisodes pluvieux intra-annuels. Dans les karsts de Chine, les séquences de remplissage détritique et les spéléothèmes ont ainsi enregistré les changements climatiques, l’incidence de la mousson et le rôle de l’homme dans la déstabilisation des terroirs (déforestation). Les indicateurs sismo-tectoniques regroupent tous les effets instantanés ou décalés dans le temps liés aux ruptures de contraintes tectoniques : tremblements de terre ou bien cisaillements au contact ou au voisinage des vides karstiques par relaxation des contraintes. Ces indices vont des sismites instantanés (spéléothèmes brisés, rythmites liquéfiés) aux figures de tension (cisaillement) et d’éclatement de la roche et des concrétions qui sont la manifestation d’effets progressifs et/ou retardés. L’analyse des signaux environnementaux a pour but de caractériser les processus périodiques, les discontinuités et les processus d’accélération. En étudiant les archives du passé à basse et haute résolution, on constate des lois générales, en particulier les effets de la non linéarité de la flèche du temps. Quand un seuil est franchi, il y a accélération, puis décélération, avec périodicité ou pseudopériodicité. Cet aspect, valable pour les processus naturels, l’est aussi pour les sociétés humaines et les impacts homme / milieu. L’analyse de ces indicateurs permet donc de mieux comprendre les processus en cours à l’interface Nature / Sociétés, et de départager l’impact des paramètres locaux et globaux. Le concept de forçage doit être retenu quand des facteurs globaux deviennent dominants et transcendent les influences locales, cas des changements climatiques en grande partie d’origine astronomique, mais phénomène valable pour les sociétés dans le cas de la pression démographique, des guerres, de la mondialisation. Mots-clés : indicateur, spéléothème, remplissage, sismite, paléoenvironnement, paléoclimat, karst subtropical, Chine. Auteur : |
ch_10 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 2.5 MB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 1 588 | |
Information sur le fichier - ch_11 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 1013.4 KB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 1 196 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Chapitre 11 : Indications sur le fonctionnement hydrochimique, le CO2 et la pollution des eaux karstiques de Chine subtropicale Résumé : le faciès chimique général est de type bicarbonato-calcique (Ca2+ = 50 à 80 mg/l), avec des teneurs en sulfates notables (10 à 100 mg/l) en relation avec des niveaux gypseux. Pendant la saison d’étiage (hiver), les eaux sont sursaturées par rapport à la calcite. Le fonctionnement de l’endokarst durant la mousson d’été a été appréhendé dans deux grottes du district de Panxian (Guizhou) ; la dissolution s’établit à 79 % pour l’épikarst et 21 % pour l’endokarst. D’autres mesures montrent que la conductivité des eaux de percolation et des sources provenant d’aquifères fissurés de type épikarstique (sources de fractures) atteint 290 à 340 μS/cm. On observe une faible dissolution dans les drains à écoulement libre. Ces résultats sont en accord avec les mesures en continu sur un cycle annuel effectué par l’Institut du Karst de Puding (district de Puding, Guizhou). Les courbes du calcium et du magnésium, sur un cycle annuel, montrent une minéralisation plus importante pendant la saison sèche. La dissolution spécifique moyenne est de l’ordre de 40 à 44 m3/ km2/an. En hiver, les cavités thermoventilées ont des pCO2 faibles de 0,02 à 0,035 % et de 0,06 à 0,07 % dans les parties moins ventilées. Les dosages de CO2 réalisés dans les sédiments de grotte indiquent des fluctuations saisonnières : 300 à 900 ppmv en hiver, 3 500 à 4 000 ppmv en été. Cet enrichissement en CO2 est probablement lié à l’activité microbienne en saison chaude humide. Cette pédogenèse souterraine a été prouvée par l’étude micromorphologique en lames minces des pseudo-varves de la grotte de Dadong (district de Wufeng, Hubei). La contamination en nitrates (8 à 20 mg/l) se situe généralement sous la norme de potabilité de l’Organisation Mondiale de la Santé (50 mg/l) et de la Chine (20 mg/l), mais les paysans commencent à utiliser les engrais chimique, même dans les zones reculées. Par contre la pollution bactériologique est très importante (100 à 1 000 coliformes pour 100 ml) et l’autoépuration par oxygénation est insuffisante dans les rivières souterraines, d’où la pollution des sources. Mots-clés : hydrochimie, gaz carbonique, dissolution, pollution, karst subtropical, Chine. Auteur : |
ch_11 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 1013.4 KB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 1 196 | |
Information sur le fichier - ch_12 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 668.6 KB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 1 086 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Chapitre 12 : Aspects hydrogéologiques et spéléogénétiques de la rivière souterraine de Benxi Shuidong (Liaoning, Chine) Résumé : Cet article fait le point sur les données disponibles à propos du karst de Benxi Shuidong. Cette région se développe dans les terrains paléozoïques de plate-forme de Chine du Nord. Le climat est de type tempéré assez humide (1 000 mm/an) à saisons thermiques très contrastées (juillet + 24,3°C, janvier - 14,3°C). Creusée dans les calcaires du Cambrien et de l’Ordovicien, la grotte de Benxi est un exemple de capture hypogée partielle d’une rivière (Tanghe) au profit d’une autre (Taizihe). Ce système perte-résurgence, d’une extension totale de 4,75 km, présente une rivière souterraine aménagée sur plus de 2 km et une partie noyée à semi noyée qui a été explorée sur 616 m de développement. Les traçages indiquent une vitesse de transit de 68 m/h pour toute la partie noyée à semi-noyée (extension 3,15 km, pente de 0,4 %) et de 100 m/h pour la rivière souterraine aménagée (extension 1,6 km, pente 0,37 %). En basses eaux, les analyses hydrochimiques montrent une forte dissolution dans la zone noyée et semi noyée (et dans la zone de percolation) et une faible dissolution dans la zone d’écoulement libre. La nette augmentation de la pCO2 dans la grotte (de 400 à 3 000 ppmv) est liée à la fréquentation de 300 000 à 500 000 touristes par an. Les datations U/Th sur les spéléothèmes donnent des à¢ges s’échelonnant entre l’Holocène (9 300 ans BP) et le stade isotopique 6 (145 000 ans BP). Les à¢ges de la génération de concrétions la plus ancienne datent la phase de passage du régime phréatique au régime d’écoulement libre. Le système karstique s’est donc formé probablement au cours du Pléistocène moyen. Les premières concrétions attribuées au stade 6 correspondent à des stalagmites modestes situés 17 m au-dessus du niveau de la rivière. Le stade 5 (interglaciaire majeur), caractérisé par un climat tempéré humide, se traduit par un alluvionnement souterrain important et par d’importants spéléothèmes. Durant la dernière phase froide (stade 2), la croissance des spéléothèmes s’arrête, puis reprend vers 13 700 ans et se développe largement à partir du début de l’Holocène vers 10 000 ans BP. Mots-clés : hydrogéologie, spéléomorphologie, spéléogenèse, Benxi, Liaoning, Chine. Auteur : |
ch_12 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 668.6 KB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 1 086 | |
Information sur le fichier - ch_13 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 1012.3 KB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 1 137 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Chapitre 13 : Une crise de l’environnement sans précédent : déforestation et érosion des sols dans la province du Guizhou Résumé : Depuis des décennies, la Chine est confrontée à une catastrophe écologique majeure liée à la déforestation massive et à la perte des terres arables qui est entretenue par la surpopulation rurale. De fait, la Chine est actuellement au bord d’un gouffre symbolisé par une fracture située à la limite écologie / développement. Dans les karsts du Guizhou, les sols et altérites sont issus essentiellement de l’altération d’anciennes couvertures non carbonatées du Paléozoïque et du Trias. Ces couvertures meubles, support nourricier de l’agriculture, résultent donc d’une longue évolution géochimique remontant au Tertiaire. La disparition climato-anthropique des sols en terrains karstiques, via la déforestation, représente donc une perte irrémédiable à l’échelle humaine Cette déstabilisation anthropogène des milieux, accentuée par le climat de mousson, est liée à un “forçage” social et socio-économique dépendant au départ de la conjugaison de deux facteurs décisifs : d’un côté un système féodal des “landlords” qui a perduré jusqu’en 1949, de l’autre côté une population paysanne pauvre et de plus en plus nombreuse qui a un besoin vital de nouvelles terres. La grande révolution paysanne des Taipings au XIXème siècle qui a suivi la guerre de l’Opium, puis les trois guerres civiles révolutionnaires au cours de la première moitié du XXème siècle ont eu pour but de redonner la terre aux paysans, en abolissant l’ancien système féodal. Au cours de la deuxième moitié du XXème siècle , la politique maoïste d’industrialisation du “Grand Bond en Avant” (1958- 61), puis la nouvelle réforme agraire de Deng Xiao Ping en 1978-80, ont donné le coup de grà¢ce à l’environnement. Dans la province du Guizhou, les paysages des jeunes “forêts de pierre” provoquées par l’érosion des sols est une image lourde de sens. Cette province montagneuse de 36 millions d’habitants, à forte densité rurale (> 204 hab/km2), est typique pour l’étude de la déforestation, de l’érosion et de la conservation des terres arables. Ces “forêts de pierre” incipientes sont formées par des dents de pierre pouvant atteindre quelques mètres de haut ; elles traduisent le décapage de sols et altérites lors des pluies violentes de mousson et la mise au jour de reliefs calcaires irréguliers et émoussés, appelés crypto-lapiés, qui se sont formés par corrosion sous la couverture semi-perméable. En fonction de la pente, l’érosion des sols s’effectue en trois phases : 1) transit oblique des fines et ravinement de la couverture d’altérites (bad-lands) ; 2) atterrissement à la base des versants et dans les dépressions ; 3) soutirage dans l’endokarst par des dolines-pertes et des effondrements. Dans l’ensemble des cavités explorées, certaines galeries présentent des épaisseurs importantes d’argiles et de limons de décantation qui attestent l’importance des soutirages dans le karst souterrain. Comme le taux de terres arables per capita diminue, les paysans ne sont pas favorables à la reforestation. Surpopulation, crise de l’environnement et aléas climatiques placent donc la Chine dans une situation de risque de pénurie alimentaire malgré une meilleure rentabilité agricole. Mots-clés : déforestation, érosion des sols, écologie, forêt de pierre, Guizhou, Chine. Auteur : |
ch_13 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 1012.3 KB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 1 137 | |
Information sur le fichier - ch_14 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 1.5 MB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 1 048 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Chapitre 14 : Lutte contre l’érosion et quête des terres arables L’aménagement des versants karstiques du Guizhou Résumé : Dans le Guizhou, l’aménagement des cônes karstiques dénudés les plus érodés exprime une réaction de survie par rapport à la diminution des terres arables et à l’augmentation de la population. La mise en culture de chaque pouce de terrain, la construction de murs entre les dents de pierre et la culture dite en “pot de fleurs” sont des marqueurs du désastre écologique de la Chine rurale. Autre indicateur significatif, les cultures sur pente sous la forme de terrasses sans murs de soutènement sur des versants de plus en plus escarpés, notamment sur roches pélitiques (Permien, Trias). Ces types de mise en culture montrent que les paysans ont un besoin urgent de nouvelles terres. L’aménagement des terroirs karstiques a été étudié plus particulièrement dans le district montagneux de Panxian où l’érosion des sols a fait des ravages sur les versants. Pour faire face à cette situation difficile, les paysans ont réalisé des aménagements variés en fonction de la topographie, avec une utilisation maximale des terroirs, y compris à l’intérieur des vastes entrées de cavités (avens-jardins), phénomène original propre à la Chine. Ainsi, dans le Guizhou, les paysans confrontés à la surpopulation des terroirs de montagne ont deux impératifs : 1/ se nourrir et conquérir de nouvelles terres, y compris dans des zones potentiellement instables ; 2/ sauvegarder la valeur de ces terres en essayant de limiter au maximum l’érosion des sols. Le gouvernement central, relayé par les gouvernements provinciaux et des districts, est conscient de l’état désastreux de l’environnement de la Chine intérieure. Aussi, des panneaux d’information visent à sensibiliser l’opinion publique sur l’utilité de replanter des arbres pour protéger les sols et aussi pour amoindrir l’effet des crues. En effet, c’est toute la Chine qui est concernée par les conséquences de la déforestation et de l’érosion des sols. Comme les bassins amont se vident progressivement de leurs altérites, les petites rivières puis les grands fleuves, riches en limons, exhaussent leurs lits dans leur partie aval. Des incitations publiques ont été prises pour essayer d’enrayer le phénomène. Certaines encouragent la construction de murs pour soutenir les terrasses d’altérites. Ces travaux de grande ampleur sont financés en partie par le gouvernement central, les campagnes devant fournir la main-d’oeuvre. Dans le district de Puding, comme pour l’ensemble des montagnes karstiques du Guizhou, les agronomes chinois disent que la devise actuelle est la suivante : “de l’eau pure en abondance, des arbres et des murs pour protéger les sols, des champs de riz pour manger”. Cette forme de slogan remplace les mots d’ordre de la période maoïste. Il existe une règle dans l’ensemble de la Chine : ne pas créer de terrasses de cultures quand la pente dépasse 25°, l’espace étant alors réservé à la reforestation. Mais cette règle n’est quasiment pas respectée car pour les paysans le reboisement est avant tout synonyme de perte de terres cultivables. Les secteurs reforestés resteront rares tant qu’existera un conflit entre la politique de reboisement menée par l’administration et le besoin impérieux pour les paysans de conquérir les dernières terres encore libres situées sur les versants les plus raides. Cette appropriation des pitons aux pentes fortes témoigne d’une crise sans précédent de l’environnement dans des terroirs surpeuplés à l’environnement sacrifié. Mots-clés : érosion, sols, terre arable, terroir, aménagement, versant, karst, Guizhou, Chine. Auteur : |
ch_14 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 1.5 MB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 1 048 | |
Information sur le fichier - ch_15 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 881.8 KB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 1 169 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Chapitre 15 : Les ressources naturelles du Guizhou Relations entre l’environnement et le développement économique Résumé : La province montagneuse du Guizhou (176 128 km2), la plus pauvre de Chine, est caractérisée par un milieu karstique montagnard subtropical sur 73 % de son territoire et un riche patrimoine naturel. Les ressources en eau sont importantes, de l’ordre de 2 875 m3/an/personne, mais elles sont réparties inégalement sur un plan spatial et temporel à cause de la circulation souterraine et de la longue saison sèche de novembre à mars. Les problèmes environnementaux sont nombreux à cause de l’érosion des sols et de la pollution de l’eau. En raison des richesses minières (charbon, fer, bauxite), les pollutions industrielles sont très fortes dans les régions de production (bassin de Shuicheng) et dans les grandes agglomérations (Guiyang, Liupanshui, Anshun, Zunyi). Les effondrements de terrain se sont développés là où la nappe phréatique a été surexploitée comme dans la conurbation de Liupanshui. Le potentiel hydroélectrique est important avec des ressources exploitables de 16,4 millions de kw. La capitale provinciale, Guiyang (1 million d’habitants), recouvre les districts de Nanming et Yunyan sur une superficie de 156 km2; elle est confrontée à de graves problèmes de pollution de l’air et de l’eau et a un approvisionnement en eau insuffisant d’où la création du lac-réservoir de Hongfenghu sur la rivière Maotiao. Les paysages du Guizhou sont parmi les plus beaux de Chine d’où la multiplication des parcs naturels et le développement progressif des ressources touristiques. Le site le plus célèbre est celui de Huangguoshu avec la chute d’eau la plus importante du pays tandis que le mont Fanjing, avec ses forêts primaires étagées entre 700 et 2 700 m, a été reconnu en 1987 comme Réserve de la Biosphère par l’UNESCO. Mots-clés : ressource naturelle, environnement, eau, hydroélectricité, barrage, développement, pollution, Guizhou, Chine. Auteur : |
ch_15 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 881.8 KB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 1 169 | |
Information sur le fichier - ch_16 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 887.7 KB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 811 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Chapitre 16 : Développement du tourisme ethno-karstique dans la province du Guizhou Résumé : Le tourisme est devenu le premier secteur économique mondial. En 2001, la Chine arrivait en 5ème rang (33,2 millions) des destinations touristiques internationales. Le tourisme intérieur chinois est en 2002 le plus gros marché touristique intérieur du monde. On assiste à un bouleversement des moeurs nationales. Les citadins chinois découvrent les loisirs et consacrent plus de 30 % de leurs économies aux voyages. La politique nationale de mise en valeur de l’Ouest du pays a été réactualisée en janvier 2000 avec la “Stratégie de Développement du Grand Ouest” afin de remédier au retard accumulé par les régions occidentales. Depuis l’adhésion de la Chine à l’O.M.C. (Organisation Mondiale du Commerce) en 2001, on assiste à une normalisation du secteur touristique avec le développement des investissements étrangers. Dans ce contexte ouvert sur la mondialisation, le tourisme ethno-karstique dans le Guizhou constitue un exemple remarquable d’évolution économique. De 1990 à 2000, le nombre de touristes extérieurs (étrangers et Chinois de l’extérieur) est passé de 24 000 à 184 000. Par rapport aux douze provinces et/ou régions autonomes de l’Ouest, le Guizhou se situe en huitième position. Le nouveau projet de développement du tourisme dans le Guizhou, lancé en 2001, est un plan à long terme sur 20 à 50 ans. Il se fonde sur les spécificités de la province : nécessité de créer des emplois et d’obtenir des bénéfices rapides dans les zones pauvres, développement de l’écotourisme, protection du milieu karstique très fragile (reforestation), préservation du patrimoine culturel ethnique. Le concept de tourisme ethnokarstique est l’association de deux concepts déjà connus : le tourisme ethnique et le tourisme karstique. En 1982, le bureau touristique provincial a choisi de créer deux circuits : le circuit ouest dédié aux sites karstiques et le circuit est consacré aux villages ethniques ; on assiste aussi à une symbiose des deux activités. Aujourd’hui, le triangle Est-Yunnan, Nord Guangxi et Sud-Ouest du Guizhou constitue la plus grande concentration de richesses ethno-karstiques de la planète. Si le Yunnan et le Guangxi sont déjà célèbres avec les “forêts de pierre” de Shilin et les “forêts de pitons” de Guilin, le Guizhou demeure encore peu développé à cause des infrastructures insuffisantes. Le patrimoine culturel plurimillénaire est l’une des grandes richesses du Guizhou qui concentre de multiples ethnies, dont la minorité Miao, la plus importante. Dès 1990, les autorités ont sélectionné plus de cinquante villages habilités à recevoir les touristes. Dans les préfectures de l’Est, on est conscient de la concurrence du Guizhou occidental qui détient les plus beaux sites naturels gérés au niveau provincial. En ouvrant des villages ethniques, les bureaux touristiques préfectoraux savent que l’investissement est beaucoup plus faible que l’aménagement d’un site naturel. Le citoyen du monde du XXIème siècle est en manque d’authenticité et de diversité. Le tourisme ethno-karstique en Chine du Sud-Ouest répond notamment à ce manque. La société mondiale a besoin de se tourner vers ses origines et de maintenir ses particularités sans lesquelles elle perd son à¢me. L’exemple du Guizhou permet d’analyser les processus du développement touristique dans une région qui pourrait devenir une grande destination touristique. Après les invasions, les guerres, les révoltes, les échanges divers qui ont participé à la diversité des sociétés du Guizhou, la dernière confrontation entre le tourisme et les identités ethniques sera peut-être la plus puissante, la plus complexe et la plus insidieuse. Mots-clés : tourisme, développement, karst, minorité ethnique, Organisation Mondiale du Commerce, Guizhou, Yunnan, Chine. Auteur : |
ch_16 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 887.7 KB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 811 | |
Information sur le fichier - ch_18 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 3.2 MB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 804 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Chapitre 18 : Comptes rendus d’expéditions Résumé : Ce chapitre a pour but de retracer l’ambiance et le contenu des principales expéditions réalisées entre 1997 et 2001 sous la forme de carnets de route. Yungui 97 marque le retour de nos expéditions en Chine par une reconnaissance du Nord Yunnan. Shuidong 97 rappelle les péripéties d’une expédition plongée effectuée dans l’une des plus grandes grottes touristiques de Chine (Liaoning). Yungui 98 se focalise sur le district de Liuzhi (Guizhou) alors que Lijiang 98 raconte les détails d’une reconnaissance libre sur les hauts karsts du Nord Yunnan. Panxian 2000 souligne les contacts locaux et la multiplicité des visites au sein du district de Panxian (Guizhou) alors que Guizhou 2001 insiste surtout sur le rythme trépidant d’une expédition de deux mois qui a engrangé plus de 60 km de topographies et subi deux rapatriements sanitaires. Mots-clés : récit, expédition, Liaoning, Benxi, Suiyang, Panxian, Liuzhi, Bijie, Guizhou, Yunnan. Auteur : |
ch_18 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 3.2 MB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 804 | |
Information sur le fichier - ch_19 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 939.4 KB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 844 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Chapitre 19 : Stages de formation technique de spéléologie en Chine - 1997-1998 Résumé : Deux stages de formation à la spéléologie ont été réalisés en 1997 (Liupanshui) et 1998 (Guiyang) à la demande de “Science and Technology Commission of Guizhou Province” et du “Guizhou Outdoor Activities and Arts Center of Guiyang” (G.O.A.C.). Ils ont réuni 37 stagiaires en 1997 (dont deux indonésiens) et une trentaine en 1998. L’encadrement technique a été effectué en 1998 par quatre spéléologues français et Zhang Shouyue pour la traduction en chinois. Les dépenses de l’encadrement ont été prises en charge par la partie chinoise. L’immense richesse karstique de la Chine, son énorme population et l’augmentation du niveau de vie vont générer un nombre de plus en plus important de spéléologues qui auront besoin de formation technique. Ce type de collaboration mérite d’être renouvelé malgré les difficultés d’organisation. Ce partage donne lieu à des échanges enrichissants qui dépassent largement le cadre de la spéléologie. Mentalités chinoises et occidentales sont faites pour se compléter. Mots-clés : spéléologie, stage technique, sport, Liupanshui, Guiyang, Chine. Auteur : |
ch_19 : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 939.4 KB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 844 | |
Information sur le fichier - Fin : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 2.8 MB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 756 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Conclusion et perspectives Additif : Expédition Nationale Guizhou 2003 Principaux résultats Bibliographie Remerciements Table des matières Auteur : |
Fin : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 2.8 MB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 756 | |
Information sur le fichier - Livre I : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 177.4 KB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 781 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Livre I Résultats des explorations spéléologiques Results of caving explorations Chapitre 1 : Explorations dans le district de Panxian (Guizhou) Explorations in Panxian County (Guizhou) Chapitre 2 : Explorations dans le district de Liuzhi (Guizhou) Explorations in Liuzhi County (Guizhou) Chapitre 3 : Explorations dans les districts de Xiuwen et Xifeng (Guizhou) Explorations in Xiuwen and Xifeng Counties (Guizhou) Chapitre 4 : Explorations dans le district de Suiyang (Guizhou) Explorations in Suiyang County (Guizhou) Chapitre 5 : Reconnaissances et explorations dans la préfecture de Bijie (Guizhou) Reconnaissances and explorations in Bijie Prefecture (Guizhou) Chapitre 6 : Reconnaissances et explorations dans la province du Yunnan Reconnaissances and explorations in Yunnan Province Chapitre 7 : La grotte de Benxi Shuidong (district de Benxi, Liaoning) Benxi Shuidong cave (Benxi County, Liaoning) Auteur : |
Livre I : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 177.4 KB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 781 | |
Information sur le fichier - Livre II : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 326.7 KB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 767 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Livre II Environnement et patrimoine karstique Environment and karst heritage Chapitre 8 : Diversité géomorphologique des karsts de montagne du Yunnan Diversity of mountain karsts of Yunnan Chapitre 9 : Les grottes-tunnels de Chine, types et évolution The tunnel-caves of China, types and evolution Chapitre 10 : Les indicateurs du milieu enregistrés dans les karsts subtropicaux de Chine The environment indicators recorded in the subtropical karsts of China Chapitre 11 : Indications sur le fonctionnement hydrochimique, le CO2 et la pollution des eaux karstiques de Chine subtropicale Indications about hydrochemistry, CO2 and pollution in karstic waters Chapitre 12 : Aspects hydrogéologiques et spéléogénétiques de la rivière souterraine de Benxi Shuidong (Liaoning, Chine) Hydrogeologic and speleogenetic features of Benxi Suidong (district of Benxi, Liaoning) Chapitre 13 : Une crise de l’environnement sans précédent : déforestation et érosion des sols dans la province du Guizhou An unprecedented environmental crisis, deforestation and soil erosion in Guizhou Chapitre 14 : Lutte contre l’érosion et quête des terres arables. L’aménagement des versants karstiques du Guizhou Remedies against erosion and quest for arable lands, grading valley slopes in Guizhou Chapitre 15 : Les ressources naturelles du Guizhou. Relations entre l’environnement et le développement The natural resources of Guizhou, relations between environment development Chapitre 16 : Développement du tourisme ethno-karstique dans la province du Guizhou Development of ethno-karstic tourism in Guizhou province Auteur : |
Livre II : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 326.7 KB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 767 | |
Information sur le fichier - livre III : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004Taille du fichier : 266.9 KB Version : 1 Date de chargement sur le serveur : 01-02-2007 00:00 Chargements : 747 Catégorie : Livre Description : Voyages en terre chinoise - Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 - Livre III Spéléologie en Chine Caving in China Chapitre 17 : Historique et point sur les recherches karstiques et spéléologiques en Chine History of cave and karst researches in China Chapitre 18 : Comptes rendus d’expéditions Diary books Chapitre 19 : Stages de formation technique de spéléologie en Chine Speleological training courses in China Auteur : |
livre III : Karstologia Mémoire n° 9 : 2004 | 266.9 KB | Livre | 01-02-2007 00:00 | 1 | 747 |
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