dong Changchaojiadong -

Détail


Nom de la grotte : Changchaojiadong -
Autres noms : Grotte du poisson à moustaches
Province, Préfecture, District :
Hubei 湖北省, Enshi 恩施土家族苗族自治州, Enshi 恩施市
Latitude Nord - Longitude Est :
30.55817 - 109.31017
Altitude (m) : 0
Développement (m) : 4 519
Profondeur (m) : 105
Profondeur - / + (m) : 105 /
Volume (m3) :
1Entrée : Changchaojiadong ,

Carte



Description 3



Exploration 2006

Un des buts de l’expédition était de tenter la jonction entre la grotte du Poisson à Moustaches et la perte du Dragon d’une part et avec la grotte Chaude et Froide d’autre part.

Dès le 1er août, nous engageons trois équipes dans la cavité.

* Philippe, Bernard et Jean-Marc retournent au fond de la cavité pour tenter une jonction avec la perte du Dragon. Mais le puits non descendu il y a deux ans aboutit dans un soutirage boueux sans suite. Une fouille détaillée de la galerie terminale permet de topographier 281 m de galeries mais sans suite possible

* Xavier, Jean-Marie et Gérald vont dans la galerie des Trois Niveaux. A cause d’un puits à traverser, ils ne peuvent continuer vers le sud-ouest, en direction de la grotte Chaude et Froide. Ils fouillent la galerie et relèvent 190 m de topographie.

* Enfin Marc, Fred, Rémy et Flo descendent un puits dans la galerie principale. Ils topographient 296 m de galeries (galerie des Trois Accès) en s’arrêtant sur deux puits en amont et en aval de la galerie, mais là encore sans beaucoup d’espoir de longue continuation.

Nos espoirs de jonction sont fortement compromis et nous ne consacrons plus beaucoup d’efforts à cette cavité. Quelques puits ayant été laissé équipés, une nouvelle équipe (Fred, Philippe et Gérald) retournent dans la cavité. Ils descendent le puits aval dans la galerie des Trois Accès (arrêt sur zone boueuse impénétrable) puis font une jonction entre ce réseau et la galerie des Trois Niveaux.

Description

La grotte du Poisson à Moustaches a été décrite dans le rapport AKL 2004.

Cette année, nous ne faisons que rajouter 792 m de topographie dans des galeries relativement annexes. La jonction avec la grotte du Dragon semble compromise. Il reste cependant un puits à descendre au niveau de la « perte de la rivière de la grotte du Poisson à Moustaches ». Il semble cependant qu’il existe une zone boueuse dénotant une forte mise en charge à 20 où 30 m de la galerie principale.

La jonction avec la grotte Chaude et Froide reste éventuellement possible. Mais il faudra traverser un puits en escalade artificielle à l’extrémité aval de la galerie des Trois Niveaux. Et là encore, les descentes au fond de la galerie des Trois Niveaux ou au fond du réseau des Trois Accès montrent qu’il existe une zone boueuse de mise en charge qui est d’assez mauvais augure.

La reconnaissance au fond de la grotte Chaude et Froide pour vérifier l’existence d’une galerie qui serait accessible en escalade a avorté du fait de la crue de la rivière.

[Bernard Lips]

Ouvrage collectif, Synthèse Bernard Lips avec la collaboration de Xavier Robert et les corrections de Josiane Lips
Spéléologie au pays de l'Homme Sauvage 7ème EXPEDITION SPELEOLOGIQUE EN CHINE, Aventures Karstiques Lointaines 2006-n°7. 111 pages
Analyse :

2621 caractères - Lu 56 Fois

Situation

X= 109° 18,61 ; Y= 30° 33,49

Sur la route menant de Banqiao à Xing Long, prendre un chemin carrossable sur la gauche sur un replat environ 3 km après la grotte Chaude et Froide. Le chemin, étroit, passe devant une ferme. Après cette ferme on distingue vers la droite la falaise dans laquelle s’ouvre la cavité. Peu après, un sentier mène sur la droite vers une autre ferme dont il faut traverser la cour pour accéder au sentier raide qui mène rapidement au grand porche d’entrée (28 m de large pour 5 m de haut).

Historique

La grotte a été repérée le 9 août 1999 par Maurice et Jocelyne Chiron.

Le 11 août de la même année, Martine et Jean-Marc Verdet démarrent l’exploration et relèvent 939 m de topographie. Le temps imparti à cette reconnaissance est très réduit car il faut que l’équipe rentre tôt à Xing Long pour un repas avec les autorités du village.

La grotte du Poisson à Moustaches représentait un objectif majeur de notre expédition 2004.

Le 31 juillet, nous déplaçons l’ensemble de l’équipe pour une première reconnaissance. Mais, juste en face de la ferme, le bus mord sur le bas côté et se retrouve coincé dans le fossé. Il nous faut trois heures pour le dégager et il est trop tard pour l’expédition. Nous nous contentons de repérer le porche et nous nous entendons avec le fermier pour qu’une partie de l’équipe puisse dormir sur place le lendemain.

Le 1 er août, nous formons deux équipes d’exploration :

B. Lips, J. Lips, P. Sénécal, R. Vulliez et X. Robert explorent la suite logique de la cavité, découvrant la rivière, et la branche fossile sud – est. Cette partie de l’équipe dort sur place.TPST:9à10h.

P. Schalk, F. Schalk et Y . Schalk explorent les galeries adjacentes du début de la galerie principale. TPST : 5 h.

Le 2 août, B. Lips et X. Robert explorent divers départs en partant du fond puis rejoignent R. Vulliez et Ph. Sénécal dans la « galerie des Trois Etages ».

F. et P. Schalk explorent la galerie du point D. J. Lips fait des prélèvements biologiques.

Description

L’entrée, de 28 m de large pour 5 m de haut, est défendue par un mur. La grotte a fait l’objet d’une intense exploitation de salpêtre. Le porche passé, il suffit de suivre un sentier évident tracé par des milliers de passage des ouvriers. Il qui serpente entre les bassins de décantation du salpêtre et les fourneaux à woak où séchait le salpêtre.

La galerie, dont le plafond est percé par endroits de puits remontants d’où proviennent quelques gouttes d’eau, conserve une section importante (20 m x 4 m) jusqu’à un premier carrefour (point A). En ce point, il est encore possible de voir la lumière du jour à 350 m de là. Le départ à droite ne donne accès qu’à un diverticule sans importance.

Les deux autres départs (point B et point C) ne donnent, de même, que sur de petits diverticules. Le cheminement dans la galerie principale reste facile (galerie de 10 m x 10 m) tantôt entre des blocs tombés du plafond, tantôt sur un lit de glaise durcie à peine surcreusée par un écoulement d’eau.

Peu avant le point D, un chaos de gros blocs ralentit un peu la progression.

Au point D, la galerie continue tout droit, mais se termine rapidement, après un puits de 20 m environ, sur des colmatages, laissant filtrer du courant d’air, à la cote – 79 m. C’est, à un mètre près, le point bas de la cavité (qui se trouve en fait dans la galerie des Trois Niveaux).

De ce même point, le sentier tourne sur la droite dans un passage plus petit que la galerie précédente et aboutit à une petite salle basse au sol glaiseux. La suite est évidente : un passage désobstrué dans la glaise durcie où souffle un violent courant d’air (l’Eteignoir). Ce passage à quatre pattes débouche dans la galerie du Billard appelée ainsi à cause de son sol parfaitement plat et lisse. Une petite descente débouche sur un nouveau carrefour (point E).

Vers l’ouest, un dédale de petites galeries conduit à des puits, non descendus, donnant accès à une même galerie.

Vers l’est, la galerie s’agrandit, longe un puits non descendu, passe sous deux arrivées en paroi nord non explorées (escalades artificielles), puis bute sur un grand effondrement qui est en fait un nouveau carrefour (F2).

* En descendant dans l’effondrement (escalade facile), il est possible de poursuivre dans une galerie sur diaclase vers l’ouest. Après l’escalade de quelques blocs, il faut s’enfiler vers la base de la diaclase et équiper un puits d’une dizaine de mètres. A sa base, un petit actif se perd dans un boyau non exploré mais guère encourageant. La suite, sèche et plus ébouleuse, se complexifie (galerie des Trois Niveaux). En fait, la diaclase est creusée sur dix ou vingt mètres de haut et présente plusieurs niveaux de plancher, reliés par de multiples puits. Il s’agit de trouver le cheminement qui évite tout équipement en traversant de nombreux puits par des oppositions en général faciles et tout en gardant la direction sud-ouest.

* A partir du carrefour F2, une vire vers l’Est permet de continuer dans une galerie aux dimensions augmentant au cours de la progression, et comportant un canyon creusé dans l’argile. Des traces d’exploitation du salpêtre sont visibles de partout. Les quelques diverticules à droite et à gauche rebouclent sur la galerie principale ou sont colmatés. Un bruit de rivière se fait entendre. Un puits de 10 m de profondeur est creusé dans le remplissage. Vers le nord, un autre effondrement se descend en escalade et donne sur une trémie de gros blocs dans laquelle il est possible de s’enfiler. La galerie principale bute sur un ressaut, qui fait office de perte pour un ruisseau provenant d’un siphon. Cet accident se shunte par une vire en paroi sud qui permet de rejoindre l’amont de la galerie qui devient active. Le ruisseau abrite une colonie importante de têtards blancs (probablement les soit-disant « poissons à moustaches »). Le sol est concrétionné et la progression se poursuit dans la rivière jusqu’à une cascade de gours faciles à escalader. Au sommet de celle-ci une galerie puis une salle, très concrétionnées, font suite. Cette salle ne présente aucune continuation et marque le terminus de cette galerie à –30 m. Un imposant pilier occupe le centre de la salle et l’actif arrive en plafond au dessus de ce pilier. Une odeur caractéristique de WC indique que l’actif doit correspondre à une perte de surface.

De la base de la cascade de gours, il est possible de faire deux escalades :

* la première, vers l’est, donne accès à une courte galerie argileuse peu visible, colmatée par un siphon d’argile.

* la seconde, de 5 m, en paroi sud, donne accès à une galerie fossile de belles dimensions, que l’on suit sur plusieurs centaines de mètres. Les concrétions de cette galerie ont été exploitées comme en témoignent les nombreuses concrétions cassées, entassées et les traces de suie omniprésentes. Une grande coulée de calcite marque la fin de la grande galerie à -45 m. Un boyau très étroit(le boyau des chinois) a été désobstrué anciennement. Il recoupe, via un ressaut de 4 m une diaclase qui bute sur étroiture amont et aval.

Dans la grande galerie, deux départs (F6 et F7) s’ouvrent en paroi nord. Le départ F6 donne accès à une succession de deux puits. Un troisième puits n’a pas été descendu faute de matériel et de temps. Il présente un courant d’air bien sensible.

Le départ F7 donne également accès à un beau puits colmaté au fond.

Perspectives

Deux journées d’exploration ont permis de topographier 2 827 m. Ce n’est cependant qu’après le calcul de la topographie et la fusion avec les autres cavités de la zone que nous avons compris l’architecture générale et la place de cette cavité dans le réseau plus important du Dragon.

L’extrémité de la grotte du Poisson de Moustaches se superpose à l’extrémité aval de la grotte du Dragon. Une centaine de mètres en dénivelé séparent cependant les deux réseaux.

Voilà qui relance singulièrement l’intérêt du puits non descendu au point F6... bien que la galerie la plus proche de la grotte du Dragon soit à plus de 150 m de distance et 85 m de dénivelé.

Par ailleurs, la galerie des Trois Niveaux semble parfaitement alignée avec la galerie principale de la grotte Chaude et Froide. L’altitude est quasiment identique mais il reste 600 m à parcourir en vol d’oiseau pour une éventuelle jonction. Là encore, le courant d’air est très prometteur.

LIPS, Bernard; LIPS, Josiane; SCHALK, Yvette; SCHALK, Patrick
Spéléologie au Pays de l’Homme Sauvage ; 6 : 88 p. (5 cartes, 9 dessins, 4 tab., 3 fig., 70 photos, 23 topographies)
Analyse :
6e expédition franco-chinoise de l’AKL en juillet-août 2004 dans le Sichuan et le Hubei (Chine). Liste des participants, compte rendu journalier. Catalogue des 82 cavités (59,2 km topographiés) explorées en 1995, 1997, 2001 et 2004 dans la région de Xing Long, 9 cavités (6,4 km topographiés) dans le district de Tong Jiang, et 4 cavités (5,2 km topographiés) dans le district de Beichuan. Description des cavités vues en 2004 (21 500 m topographiés); grotte des Trois Yeux (Dév.: 10 484 m, dén.: +17 / -167 m), grotte du Dragon (Dév.:10328 m, dén.: +31 / -391 m). Note sur l’exploitation du salpêtre. Biospéologie (193 prélèvements, identification au niveau du groupe). Budget. (FB).

8666 caractères - Lu 56 Fois

GROTTE DU POISSON A MOUSTACHES

Chang Chao Da Dong (la grotte de la famille Chang Chao)

(Dév > 939 m, dén. : -52 m)

Situation

X = 37,300 Y = 84,200

Sur un replat, environ 3 km après la grotte Chaude et Froide, en allant vers Xin Long sur la route principale, prendre, peu avant l'entrée d'un village, une petite piste à gauche, sur 500 m. La piste traverse la cour d'une ferme avec un étang à droite et la ferme à gauche. Il faut s'arrêter à la hauteur d'une autre ferme qui se trouve 100 m plus loin à droite, surplombée par une colline avec une petite falaise. La grotte s'ouvre au pied de la falaise. Il est nécessaire de traverser les bâtiments de la ferme pour accéder au sentier raide qui mène au grand porche de l'entrée de la grotte (28 m de large par 5 de haut).

Description

L'entrée est défendue par un mur. La grotte a été le lieu d'une intense exploitation de salpêtre. Le mur, percé d'une porte, permettait peut-être aux exploitants de se défendre contre les intrusions inopportunes de voleurs.

Le porche passé, il suffit de suivre un sentier évident tracé par des milliers de passages des ouvriers. Il serpente entre les bassins de décantation du salpêtre et les fourneaux à wok où séchait ce composant nécessaire à la poudre noire.

La galerie, dont le plafond est percé par endroits de puits remontants d'où proviennent quelques gouttes d'eau, conserve une section importante (20 x 4 m) sur 150 m, puis se rétrécit (7 à 8 m de large par 10 m de haut) jusqu'à un carrefour. A ce croisement (point A), il est encore possible de voir le jour de l'entrée à 350 m de là.

Lors des pluies de mousson, l'eau doit s'écouler dans la galerie de droite, descendante, que nous n'avons pas explorée.

Nous avons poursuivi dans la galerie de gauche car le courant d'air, sensible depuis l'entrée, en provient. Le cheminement reste facile (galerie de 10 x 10 m) tantôt entre des blocs tombés du plafond, tantôt sur un lit de glaise durcie à peine surcreusée par un écoulement d'eau. Un escalier, creusé à même la glaise d'un pan incliné, nous mène peu après à un autre carrefour (point C). A cet endroit, partant vers la droite, une petite galerie non explorée collecte les eaux de ruissellement.

La galerie principale, évidente, conserve de belles dimensions, puis à partir d'un bassin de décantation surélevé (diamètre 2 m), devient plus chaotique, minée par les excavations des mineurs de salpêtre. En arrivant au carrefour suivant (point D), un chaos de gros blocs ralentit la progression.

Plus loin, la galerie se transforme en grande diaclase de 5 m de large pour 10 à 15 m de haut. Le courant d'air qui nous guide ne venant pas de cette direction, cette suite n'a pas été explorée, mais semble prometteuse.

A droite, le sentier nous guide vers un rétrécissement venté et nous fait descendre un escalier fait de blocs empilés, pour aboutir à une petite salle basse au sol glaiseux. La suite est évidente: un passage désobstrué dans la glaise durcie où souffle un vent à décorner des buffles (l'Eteignoir). Ce passage à quatre pattes (quoi une étroiture ?) débouche dans la galerie du Billard,

appelée ainsi à cause de son sol parfaitement plat et lisse. Sur la droite, un pilier stalagmitique écorché par les exploitants de la grotte trône seul au milieu de la galerie. En continuant à suivre le courant d'air, après avoir descendu des marches taillées dans la glaise, on arrive sur un gros bloc, en balcon sur une grande galerie (point E).

Sur la droite, un labyrinthe de galeries horizontales a été seulement reconnu sur 50 m. A gauche, le sentier se poursuit dans une galerie de 7 x 10 m, passe près d'un puits terreux, puis au niveau d'un magnifique bac de décantation de salpêtre d'un diamètre de 3 m. Une galerie supérieure n'a pas été explorée.

Le vent dans le nez, nous continuons d'avancer dans la galerie la plus évidente, passant près d'un autre gros bac à salpêtre, jusqu'à une construction semi-circulaire en pierres sèches (point AKL 1999). Visiblement, cette construction a dû servir à abriter du vent des fourneaux à wok, et peut-être même un bivouac (présence de morceaux de bois, bambous, chiffons...). Par manque de temps, nous n'avons pas pu continuer l'exploration, mais nous avons pu reconnaître, en courant, près de 150 m de plus, toujours aussi gros. Ca continue !

Exploration

La grotte a été repérée le 9 août par Maurice et Jocelyne Chiron. Martine et Jean-Marc Verdet démarrent l'exploration et la topographie le Il août. Le temps imparti à l'exploration a été très restreint, car il fallait rentrer tôt à Xin Long, pour un repas avec les autorités du village, pour notre dernier soir.

Aux dires des fermiers de la vallée, cette grotte est très longue, et, au fond, il y a une rivière où l'on peut trouver des sortes de poissons à moustaches. Un fermier nous a même raconté que son père y était resté quatre jours, pour aller au fond et en revenir.

Ouvrage collectif, Synthèse Patrick Degouve Bernard et Josiane Lips avec la collaboration de Fabrice Abréal (dessins), Roger Benvenutti, Maurice Chiron, Patrick Deriaz, Robert Le Pennec, Christian Locatelli, Patrick Schalk, Jean-Marc Verdet, professeur Wan Xinnan et M. Yang Guihe
Spéléologie au pays de l'Homme Sauvage 4ème EXPEDITION SPELEOLOGIQUE EN CHINE, Aventures Karstiques Lointaines 1999-n°4. 120 pages
Analyse :

5022 caractères - Lu 112 Fois

Bibliographie 3



Ouvrage collectif, Synthèse Bernard Lips avec la collaboration de Xavier Robert et les corrections de Josiane Lips
Spéléologie au pays de l'Homme Sauvage 7ème EXPEDITION SPELEOLOGIQUE EN CHINE, Aventures Karstiques Lointaines 2006-n°7. 111 pages

Source :

LIPS, Bernard; LIPS, Josiane; SCHALK, Yvette; SCHALK, Patrick
Spéléologie au Pays de l’Homme Sauvage ; 6 : 88 p. (5 cartes, 9 dessins, 4 tab., 3 fig., 70 photos, 23 topographies)
6e expédition franco-chinoise de l’AKL en juillet-août 2004 dans le Sichuan et le Hubei (Chine). Liste des participants, compte rendu journalier. Catalogue des 82 cavités (59,2 km topographiés) explorées en 1995, 1997, 2001 et 2004 dans la région de Xing Long, 9 cavités (6,4 km topographiés) dans le district de Tong Jiang, et 4 cavités (5,2 km topographiés) dans le district de Beichuan. Description des cavités vues en 2004 (21 500 m topographiés); grotte des Trois Yeux (Dév.: 10 484 m, dén.: +17 / -167 m), grotte du Dragon (Dév.:10328 m, dén.: +31 / -391 m). Note sur l’exploitation du salpêtre. Biospéologie (193 prélèvements, identification au niveau du groupe). Budget. (FB).
Source :

Ouvrage collectif, Synthèse Patrick Degouve Bernard et Josiane Lips avec la collaboration de Fabrice Abréal (dessins), Roger Benvenutti, Maurice Chiron, Patrick Deriaz, Robert Le Pennec, Christian Locatelli, Patrick Schalk, Jean-Marc Verdet, professeur Wan Xinnan et M. Yang Guihe
Spéléologie au pays de l'Homme Sauvage 4ème EXPEDITION SPELEOLOGIQUE EN CHINE, Aventures Karstiques Lointaines 1999-n°4. 120 pages

Source :


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Topographie 3



topographie Changchaojiadong
Source : Akl
topographie Changchaojiadong
Source : Akl
topographie Changchaojiadong
Source : Akl

Expédition 3


Cette grotte a été identifiée ou explorée au minimum par cette (ces) expédition (s) :




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