dong Dadongpiandong - 大洞偏洞

Détail


Nom de la grotte : Dadongpiandong - 大洞偏洞
Autres noms : Grande grotte oblique
Province, Préfecture, District :
Guizhou 贵州省, Zunyi Shi 遵义市, Suiyang 绥阳
Latitude Nord - Longitude Est :
28.236155 - 107.267259
Altitude (m) : 990
Développement (m) : 6 935
Profondeur (m) : 295
Profondeur - / + (m) : 0 / 295
Volume (m3) :
Géologie : Ordovicien inférieur O1t (Tongzi) + O1h (Honghuayuan)
4Entrée : Dadongpiandong 大洞偏洞, Gantudong 干土洞, Jianshanzidong 尖山子洞, Liangfengyadafengdong 凉风崖大风洞,

Carte



Description 2



8. Dàdòngpiāndòng

Grande Grotte Oblique (Sui 0410)

C'est une résurgence de 200 l/s dont les eaux se jettent dans la doline de Tuanduiwoshuidong. Arriverons-nous à suivre le très fort courant d'air de ce maillon de l'étage supérieur de la Shuanghe ? Les explorations sont à poursuivre, par temps sec.

Marche d'approche : 1H15. Depuis le village de Tonggu, prendre la route qui monte dans la vallée de gauche, après le début de la montée, au premier virage à droite, continuer tout droit à travers la maison pour prendre un chemin qui monte suivant un vallon en rive gauche. Lorsque ce chemin rejoint le milieu du vallon, prendre un autre chemin bien marqué qui part à gauche, droit dans la pente, et le suivre au plus évident. On arrive à une rizière très caractéristique au sommet d'une butte. Prendre alors horizontalement sur la gauche pour suivre un chemin en rive droite d'un canyon, à flanc, et parallèle à un canal d'irrigation qui capte une partie des eaux de Dadongpiandong. L'entrée est alors visible sur l'autre versant du canyon, il suffit pour l'atteindre de poursuivre le chemin.

On pénètre dans la grotte par un porche de 25 m de large qui présente en paroi de gauche des départs non inspectés. La galerie se poursuit, un gros départ sur la gauche se termine sur un laminoir peu engageant mais pénétrable avec un gros courant d'air, ainsi qu'une diaclase ventilée qui semble franchissable en opposition, une solide combinaison est conseillée pour aller plus loin.

La galerie principale se poursuit et passe sous un puits qui débouche en surface, caché par des arbres, non loin du chemin. Le cheminement principal passe par une courte galerie de 2 m de diamètre parcourue par un courant d'air estimé à 40 m3/s, le frétillement de la jugulaire du casque nous encourage à poursuivre tout en imaginant les conséquences d'une crue à cet endroit. L'amont nous conduit un peu plus loin à une voûte très basse avec à sa gauche une galerie à gros courant d'air derrière un bassin.

Peu avant ce pseudo-siphon, en poursuivant la galerie fossile au plus évident, on s'engage dans un méandre dont l'exploration a été poursuivie jusqu'à un P10 ventilé.

Mais le gros du courant d'air provient d'une galerie au plafond qui s'atteint facilement par le haut du méandre, on laisse sur la gauche un départ ventilé qui pourrait rejoindre le pseudo-siphon et nous retrouvons alors la grosse galerie.

Une partie du courant d'air vient du plafond de la galerie à travers une trémie de très gros blocs, l'autre vient du regard sur la rivière qui n'a pas été fouillé.

La suite la plus évidente est une jolie petite rivière qui se divise progressivement dans des amonts, de ce côté il y a peu d'espoir de continuation. [Eric Sanson]

"BOTTAZZI, Jean; LI, Po; FAURE, Nicolas; SANSON, Eric; BOUGNOL, Aymeric; HE, Wei; ZHU, Wenxiao"
Spelunca Mémoires, n° 30 : Voyages en terre chinoise tome 2 : Chapitre 1
Analyse :
Le réseau de Shuanghe se trouve sur le district de Suiyang (Guizhou, Chine). Il se développe dans les dolomies d'un plateau de 78 km2 et de 700 à 1700m d'altitude. 100 entrées y sont inventoriées dont 64 topographiées. La complexe réseau de Shuanghe, 85 km, possède 27 entrées et trois rivières principales. Les paramètres lithologiques, structurels et hydrologiques, et spécialement le niveau de gypse inclu dans la stratification, déterminent le développement de ces grottes dont la formation peut être décomposée en quatre phases. Nous présentons ici la description du massif, l’inventaire des cavités, une approche des facteurs génétiques et les résultats des expéditions 2004 et 2005. (Author, BJ).

2804 caractères - Lu 42 Fois

C. Dadongpiandong (127)

Dadongpiandong est la première grotte offrant une traversée souterraine du massif de la Shuanghe d’une vallée à l’autre. Son développement est de 5201 m pour un dénivelé de 269 m. Elle n’offre pourtant aucun espoir de jonction spéléologique avec le réseau de Shuanghedong. En effet, bien que les eaux -200 l/s- sortant de la résurgence vont immédiatement se perdre dans le gouffre de Tuanduiwoshuidong, il faut tenir compte d’un niveau imperméable schisteux local qui l’isole irrémédiablement en amont de la résurgence.

Deux grottes explorées en 2010, Liangfengyadafengdong et Gantudong, pourraient donner deux entrées supplémentaires à ce système.

1. La traversée perchée

a. Accès à la résurgence

L’accès à l’entrée se fait depuis le village de Tonggu. Prendre la deuxième route à droite qui monte dans le deuxième vallon, après le début de la montée, au premier virage à droite, continuer tout droit à travers la maison pour prendre un chemin qui monte suivant un vallon en rive gauche. Lorsque ce chemin rejoint le milieu du vallon, prendre un autre chemin bien marqué qui part à gauche, droit dans la pente et le suivre au plus évident. Une patte d’oie fait hésiter, il faut prendre à gauche un chemin horizontal. En suivant au plus évident, on arrive à une rizière très caractéristique au sommet d’une butte. Le chemin se poursuit horizontalement sur la gauche pour suivre un chemin en rive droite d’un canyon, à flanc et parallèle à un canal d’irrigation qui capte une partie des eaux de Dadongpiandong. L’entrée est alors visible sur l’autre versant du canyon, il suffit pour l’atteindre d’emprunter le chemin qui descend pour traverser le canyon. Sur l’autre versant, il est préférable de suivre le chemin plutôt que le canal car celui-ci est fragile.

b. La zone d’entrée

On pénètre dans la grotte par un porche de 25 m de large qui présente en paroi de gauche des départs non inspectés. La galerie se poursuit et, sur la gauche, un laminoir peu engageant présente un puissant courant d’air. Il y a aussi une diaclase ventilée qui semble franchissable en opposition, une solide combinaison est conseillée pour aller plus loin. La galerie principale continue et passe sous un puits qui débouche en surface non loin du chemin. Il est caché par des arbres.

Le cheminement principal passe par une courte galerie de 2 m de diamètre parcourue par un courant d’air estimé à 40 m3/s. Le frétillement de la jugulaire du casque nous encourage à poursuivre tout en imaginant les conséquences d’une crue à cet endroit. Vers l’amont, on s’arrête sur un bassin sous une voûte très basse avec à sa gauche une galerie à fortement ventilée d’air derrière un bassin.

Peu avant ce pseudo-siphon, une galerie sur la droite donne accès à un méandre dont l’exploration a été poursuivie jusqu’à un P10 ventilé se prolongeant par des escalades. Mais le gros du courant d’air provient d’une galerie au plafond qui s’atteint facilement par une escalade de 5 m. Après un ressaut de 2 m, une partie du courant d’air vient du plafond à travers une trémie de très gros blocs. L’autre vient du regard sur la rivière qui donne accès à la suite du réseau.

Si on laisse ces départs, la suite la plus évidente est une jolie petite rivière qui se divise progressivement dans des amonts. De ce côté, il y a peu d’espoir de continuation.

c. La trémie

Pour la suite du réseau, il faut descendre et suivre au plus près l’actif. L’eau semble sortir d’un siphon, mais si on lève le nez on voit un passage entre les blocs qui marquent le début de la trémie et il faut environ 15 minutes pour la franchir.

Le premier passage est une boîte aux lettres étroite qui descend vers l’eau. L’escalade qui suit débouche sur un grand vide, mais il faut redescendre tout de suite. En face, un “monte-et-baisse” redonne sur l’eau.L’itinéraire dans la trémie n’est pas évident, on s’efforcera de suivre l’eau au plus près .

Le courant mène à une étroiture au ras de l’eau. Elle peut être évitée par un nouveau “monte-et-baisse” et un dernier passage remontant entre blocs qui marque la fin de la trémie.

La progression est maintenant plus évidente. Un gros bloc obstrue le passage, suivi d’une petite douche en rive gauche, cette zone serait à fouiller pour chercher un éventuel shunt à la trémie. Un peu plus loin, la base de la galerie est occupée par un bloc énorme tombé du plafond, l’itinéraire le plus facile est de suivre la crête du bloc qui se termine en face d’une arrivée de canyon qu’on pourrait atteindre par une escalade. La galerie se prolonge sur la droite.

La rivière se poursuit avec un passage obligé qui remplit les bottes, un travail de terrassement permettrait de passer à gué. Plus loin, si l’on y prend garde, on peut s’engager dans l’affluent qui apporte 1 l/s. [Eric Sanson]

d. L’affluent

L’affluent se trouve en rive gauche. Son débit est inférieur à 1l /s. La galerie s’est formée au contact des marnes engendrant un effondrement partiel de la voûte.

Tout d’abord, la progression se fait le long de l’actif sur 70m. La rivière apparaît à cet endroit entre les blocs. Ensuite on progresse au-dessus des blocs et à 200m, la galerie se scinde en deux : une partie active non explorée et une partie fossile longue de 140 m.

La galerie varie entre 15 et 30 m de large pour 2 à 3 m de haut seulement. Puis on franchit un ressaut de 3 m où l’on retrouve l’actif qui se prolonge à l’aval.

En amont, on remonte l’actif sur 100 m, il bute sur une trémie. L’eau de la rivière arrive en plafond juste avant cette trémie. La galerie se poursuit en paroi droite le long de la trémie pour donner à nouveau sur une galerie d’effondrement puis sur un méandre (1,5x6m). La suite est méandriforme et un cours d’eau temporaire de petit débit parcourt ce conduit.

La fin est constituée d’une trémie obturant totalement la galerie. [Sébastien Delmas]

e. La coulée orangée

Après l’affluent, la grosse galerie continue sur la gauche et passe sous un puits remontant avec une cascade qui apporte quelques litres par seconde. Peu après, la galerie fait un virage franc sur la droite tandis que des départs semblent partir en face. Il est inutile de suivre la rivière qui bute sur un bloc au virage suivant, il faut aller tout droit et longer la paroi de gauche une fois en haut, puis passer au mieux à travers la trémie. On arrive bientôt en face d’une cascade qu’il est possible d’éviter en descendant vers l’arrière pour rejoindre la rivière. Il faut suivre cette rivière et un passage étroit débouche dans une grande salle au sol limoneux. Il est possible de revenir vers le haut de la cascade pour poursuivre l’exploration mais il faut prévoir du matériel d’escalade pour rejoindre la cascade par une banquette glaiseuse et remonter le canyon qui suit. Nous sommes à la base d’un grand puits remontant qui a probablement été creusé par la cascade avant son recul dans le canyon.

Depuis la salle limoneuse, la rivière continue jusqu’au chaos suivant qui se caractérise par un passage d’escalade sous un rocher de la taille d’un piano. Le “piano” semble stable pour le moment mais le reste est assez branlant. La rivière arrive ensuite sur un nouveau chaos qui se termine par un R3 que l’on peut éviter par la droite. Le profil de la galerie évolue : la roche noire et marneuse clivée en plaque ou en bâtonnets -dont certains dépassent le mètre- laisse la place à un calcaire plus clair et la rivière se surcreuse en canyon. C’est assez surprenant de percer le niveau de base qui doit faire une dizaine de mètres d’épaisseur en progressant vers l’amont. Nous sommes bientôt arrêtés par une vasque profonde et la progression par les banquettes de la grosse galerie n’est pas faisable. Un équipement sur corde est posé pour contourner la vasque par la gauche, il reste délicat à passer car surplombant.

Après cet obstacle, la progression sur la banquette est de nouveau possible et l’on rejoint une zone où la rivière n’est plus encaissée. La galerie est recoupée par des grands puits remontants arrosés et la rivière s’enfonce de nouveau en canyon. Une autre vasque doit de nouveau être contournée à l’aide d’un spit et d’un bout de sangle. Plus loin, une marmite est d’un contournement délicat : il faut revenir en arrière pour escalader facilement des banquettes et franchir sur la gauche un ressaut exposé de 2 m et prendre pieds dans le fossile supérieur. Une corde à nœuds rend ce passage confortable. À ce niveau, les plaques de schistes sont particulièrement remarquables, c’est semble-t-il une caractéristique de la base de la couche de marnes. La grosse galerie continue jusqu’à ce qu’un passage entre deux gros blocs à l’horizontale permette de rejoindre par la gauche la fin du canyon et de retomber sur la couche de beau calcaire.

Un peu plus loin, la rivière se sépare en deux, un tiers de l’eau vient de la branche de gauche, deux tiers viennent de la branche de droite.

La branche de droite bute rapidement sur une cascade de 4m nécessitant 3 spits pour sécuriser son escalade. Au sommet, un lac profond et une autre cascade de 4m incitent à passer sur une vire en hauteur. Une autre cascade -de 5m- peut être évitée en grimpant avant, mais c’est peu confortable et il est utile de disposer une corde sur un amarrage naturel pour faciliter le retour. Les obstacles se calment un peu et l’arrêt de l’exploration par manque de temps se fait au niveau d’une petite coulée orange caractéristique.

f. Jonction avec Jianshanzidong (126)

La branche de gauche est tout d’abord encombrée de quelque blocs, puis se poursuit avec un bon gabarit, même s’il reste inférieur à la galerie principale. Un passage à quatre pattes sous un bloc ponctue la progression qui reste facile malgré le sol glissant et l’instabilité des blocs. Nous passons bientôt devant une cascade qui précède quelques vasques. L’une d’elle ne peut être franchie. Un béquet à 5 m de haut et un lancé de corde permettent de tendre une tyrolienne au-dessus de la vasque. Juste après, un squelette de renard a été trouvé sur la banquette du méandre et nous avons également vu des bouts de bois échoués à différents endroits. La galerie se poursuit sous la forme d’un méandre de taille humaine parfois réduite par des tablettes proéminentes. Le courant d’air se renforce, indiquant sans doute une obstruction de la galerie fossile supérieure. Une apparition soudaine de beaux massifs stalagmitiques marque la fin du méandre, la galerie reprend une dimension confortable et nous arrivons de nouveau à un carrefour. À droite, de l’eau arrive d’un puits remontant arrosé de 40m alors qu’à gauche la rivière continue. Le P40 est en fait l’arrivée de Jianshanzidong. L’équipement de ce puits est très délicat car il faut éviter l’eau qui tombe du méandre, il y a un goujon près d’un bloc coincé en rive droite.

En bas du P40, la suite est accessible en remontant la pente de sédiments pour rejoindre la rivière. Quelques gros blocs obligent à une escalade puis la galerie devient plus facile et large mais malheureusement assez courte car des gros blocs bouchent le passage. Il faut alors monter sur la droite pour rejoindre une galerie parallèle et trouver en paroi gauche une escalade avec bruit de cascade. Le bruit vient de deux gros puits remontants, la rivière vient d’en haut. Il n’y a pas d’autre continuation. Au pied de l’escalade, si l’on continue la galerie parallèle, on accède à un bout de rivière abandonnée: arrêt sur colmatage en amont et sur passage bas sans courant d’air en aval. [Eric Sanson]

g. L’entrée supérieure: Jianshanzidong (126)

L’entrée se trouve au sud du massif. Un peu avant le grand poljé de Rangshuiba. Une petite route non goudronnée monte dans la montagne au petit village de Ganbao, à 1050 m d’altitude. Il faut poursuivre à pied plus d’une heure par un sentier montant à l’est du village, puis revenant au nord à flanc de versant. L’entrée se situe au bord du sentier, à 1320 m d’altitude et dans le prolongement de la principale combe qui monte au nord de Ganbao.

Le début de cette petite perte d’altitude est large et présente un ressaut de 3 m. Après un cul-de-sac fossile à gauche et un passage dans une petite salle où arrive un affluent impénétrable, la tendance méandriforme prend le dessus. On suit donc un petit actif dans des circonvolutions étroites et jamais bien hautes de plafond. On trouve parfois les vestiges d’une petite conduite forcée supérieure. Elle offre un shunt non topographié à un bout de méandre puis quitte définitivement celui-ci vers une suite inexplorée.

La petite rivière se laisse alors suivre jusqu’à un beau puits de 40 m. Dadongpiandong est en bas.

BOTTAZZI, Jean; BARBARY, Jean-Pierre; HUGON, Bruno (2011)
Spelunca Mémoires, n° 35 (2011) : 306 p. 300 photos, 135 topos, 14 cartes (ISBN 978-2-900894-18-7)
Voyages en terre chinoise tome 3 : Expéditions spéléologiques franco-chinoises du P.S.C.J.A. de 2006 à 2010.

Analyse :
Les résultats traités dans cet ouvrage rendent compte des travaux effectués au cours de six expéditions du P.S.C.J.A., toutes agréées par la Fédération Française de Spéléologie, s’étant déroulées de 2006 à 2010, ainsi que d’explorations réalisées sur la même période en marge de ces expéditions. Ce sont en tout plus de 186 km de grottes inédites, principalement situées dans la province du Guizhou. 278 cavités sont citées, dont 253 le sont pour la première fois. Après quelques clefs de lecture et le résumé des expéditions ayant permis toutes ces découvertes, les résultats de ces expéditions sont présentées en 11 chapitres. (JB).

13149 caractères - Lu 84 Fois

Bibliographie 2



"BOTTAZZI, Jean; LI, Po; FAURE, Nicolas; SANSON, Eric; BOUGNOL, Aymeric; HE, Wei; ZHU, Wenxiao"
Spelunca Mémoires, n° 30 : Voyages en terre chinoise tome 2 : Chapitre 1
Le réseau de Shuanghe se trouve sur le district de Suiyang (Guizhou, Chine). Il se développe dans les dolomies d'un plateau de 78 km2 et de 700 à 1700m d'altitude. 100 entrées y sont inventoriées dont 64 topographiées. La complexe réseau de Shuanghe, 85 km, possède 27 entrées et trois rivières principales. Les paramètres lithologiques, structurels et hydrologiques, et spécialement le niveau de gypse inclu dans la stratification, déterminent le développement de ces grottes dont la formation peut être décomposée en quatre phases. Nous présentons ici la description du massif, l’inventaire des cavités, une approche des facteurs génétiques et les résultats des expéditions 2004 et 2005. (Author, BJ).
Source :

BOTTAZZI, Jean; BARBARY, Jean-Pierre; HUGON, Bruno (2011)
Spelunca Mémoires, n° 35 (2011) : 306 p. 300 photos, 135 topos, 14 cartes (ISBN 978-2-900894-18-7)
Voyages en terre chinoise tome 3 : Expéditions spéléologiques franco-chinoises du P.S.C.J.A. de 2006 à 2010.

Les résultats traités dans cet ouvrage rendent compte des travaux effectués au cours de six expéditions du P.S.C.J.A., toutes agréées par la Fédération Française de Spéléologie, s’étant déroulées de 2006 à 2010, ainsi que d’explorations réalisées sur la même période en marge de ces expéditions. Ce sont en tout plus de 186 km de grottes inédites, principalement situées dans la province du Guizhou. 278 cavités sont citées, dont 253 le sont pour la première fois. Après quelques clefs de lecture et le résumé des expéditions ayant permis toutes ces découvertes, les résultats de ces expéditions sont présentées en 11 chapitres. (JB).
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Topographie 1



topographie Dadongpiandong 大洞偏洞
Source : Gkc

Expédition 4


Cette grotte a été identifiée ou explorée au minimum par cette (ces) expédition (s) :




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