dong Santangdongqun - 三塘洞

A. SANTANG DONGQUN
Réseau de Santang (fig. 17)
Zhijin n° 86/47
Z = 1590 m (Ponor) Dév. = 7205 m Dén. = - 138 m

Situation : Il est situé à 33 km au SW de Zhijin tout près du village de Santang.

Historique : En 1977, cette cavité a été explorée et mesurée sur 3 km par la deuxième équipe du bureau d’ingénieurs géologues et hydrogéologues du Guizhou. En 1986, nous topographions le réseau sur 6137 m. En 1989, nous explorons 1068 m de plus et découvrons une nouvelle entrée à l’aval du réseau.

Géologie : Le réseau se développe dans les formations calcaires du Trias inférieur (étage Yongninzhen), tout près de l’axe du grand synclinal.

Description : Onze entrées connues permettent d’accéder à ce réseau labyrinthique qui se développe tout près de l’axe du synclinal. Il s’étage sur quatre niveaux distincts.
Le niveau supérieur se compose de belles galeries où se trouvent les seuls concrétionnements importants de la cavité. Il est aussi représenté par des cavités aujourd’hui déconnectées du réseau (Ganlaodong : fig.16,17,19).
Le niveau intermédiaire semi-fossile, très austère, est celui que nous suivons le plus souvent lors des explorations. Il s’agit de conduits boueux, humides, de section rectangulaire et de taille régulière où les remplissages occupent parfois jusqu’aux trois quarts des conduits. Cet étage est caractérisé par les énormes suçoirs de boue (entonnoirs de soutirage) qui coupent les galeries en deux et rendent la progression difficile ; et par son profil en "montagnes russes".
Le niveau inférieur est une zone semi-noyée, les deux galeries que nous avons explorées se terminent sur siphons, le plus bas à la cote - 138 m. Il est peu probable que nous puissions atteindre et surtout explorer le collecteur formant le dernier niveau qui doit probablement être ennoyé dans cette partie du synclinal. La seule circulation d’eau que nous avons rencontrée se trouve dans le ponor (Luoshuidong) de Guanho qui absorbe les 1 à 2 m3 /s d’une rivière importante drainant une partie du flanc nord du synclinal. Celui-ci n’est pas relié au réseau si ce n’est par une galerie ayant perdu son plafond et qui vient se raccorder à l’effondrement central.
La partie amont organisée autour de l’effondrement central (point 7, fig.17) est labyrinthique et possède de nombreuses entrées ; l’axe des galeries s’oriente NE-SW.
A partir des entrées de Huazidong et Yunpandong (points 9 et 10, fig. 17), le réseau se développe plus simplement en remontant vers le NW sur plus d’un kilomètre jusqu’à un croisement avec une galerie venant du sud. Celle-ci mène à l’entrée la plus aval et paradoxalement la plus haute du système, le puits de Maotendong (point 11, fig. 17). Après ce croisement où de nombreux points d’interrogation demeurent, le réseau s’oriente plein nord sur environ 500 m puis s’infléchit à nouveau vers le SW. Nous nous sommes arrêtés là sur rien ! (JPB)

Géologie des cavités de la zone de Houchang : Cette zone dépend du système de Santang et se situe sur le flanc nord du synclinal tout près de l’axe. Elle est occupée par les formations du Trias inférieur (étage Yongningzhen T1yn1) ; il s’agit de calcaires dolomitiques sparitiques gris foncé en bancs épais et de calcaires en bancs fins à moyens. Le pendage est de 19° avec une direction N173°. Nous avons exploré les cinq cavités décrites ci-après et trouvé la onzième entrée du réseau de Santang (Maotendong) (fig. 16). (ZS, JPB)

BARBARY, Jean-Pierre; COLLIGNON, Bernard; MOUDOUD, Jean-Luc; SONG, Shixiong; ZHANG, Shouyue (1991): Karsts et cavités du Comté de Zhijin (Guizhou).-
Karsts de Chine, expé Gebihe 89 - Karstologia Mémoires n°4: 20-41 (21 fig. cartes ou topos, 6 ph.).

Analyse : BBS
Présentation physique, description de cavités. (RL).

3589 caractères - Lu 111 Fois


SANTANG DONGQUN ( Réseau de Santang )
ZHIJIN N°47
Z= 1590 m (Ponor) P= - 90 m Dev=6137 m Ext=1795 m
Situation
Il se situe à 33 km au sud-ouest de Zhijin, tout près du village de Santang (figure 18).
Historique
Cette cavité a été explorée et mesurée en 1977 sur 3 km par la deuxième équipe du bureau d'ingénieurs géologues et d'hydrogéologues du Guizhou.
Contexte géologique
Il s'ouvre dans un paysage d'ouvalas,  (1630 m d'altitude en moyenne), dominé 50 m plus haut par des quifungs.
Il se situe tout près de l'axe (NE 45°) du large synclinal de Santang qui draine de nombreuses rivières. Sur son côté sud-est,  les pendages varient de 10 à 15°, tandis que sur son côté nord-ouest  beaucoup plus étendu, ils sont de 5 à 10°.
Le réseau se développe dans des calcaires  micritiques gris foncé en bancs moyens à épais de la partie supérieure du T1yn1. Le pendage y est de 12°, direction 345°, et la direction des fractures principales  NW 340°, NE 40°, EW. Cette cavité de type labyrinthique qui totalise 6137 m de galeries, se développe le long du plan de strate et compte actuellement onze entrées. Nous pouvons noter l'absence quasi totale de concrétions sauf dans les parties supérieures du réseau.
Le bassin de drainage s'étend sur plus de 150 km2 et le système hydrographique principalement souterrain est long de 33 km (mesure effectuée en surface à vol d'oiseau). Sept kilomètres séparent le ponor de Guanho (Z 1590 m) à la résurgence de Lochou (Z 1480 m). Le gradient est de 1%, le débit moyen de 6.64 m3/s et de 0.55 m3/s à l'étiage.
En saison des pluies, tout le poljé de Santang s'ennoie sur une hauteur de plus de 80 m.
Descriptif
Pour une meilleure compréhension  nous  diviserons le réseau en trois parties : le ponor, les réseaux amonts et les réseaux avals. L'effondrement central est un point important auquel se rattachent les quatre premières entrées qui donnent accès à la totalité du réseau .- ^ -
LE PONOR DE GUANHO
En extérieur, la rivière cascade dans un étroit canyon (largeur 3 à 4 m) avec un débit supérieur à 1 m3/s lors des explorations. Un petit ressaut est franchi en varappe sur le côté gauche. Nous continuons sur la berge une trentaine de mètres, la rivière fait ensuite un coude sur la gauche et se jette dans un puits (environ trente mètres) dans le bouillonnement impressionnant d'une superbe cascade. Pour continuer la progression deux possibilités s'offrent à nous : traverser en vire ou ressortir du canyon pour descendre à l'aplomb du puits. La première solution semble trop longue car il faut équiper en artif sur plus de vingt mètres. Nous choisissons donc la deuxième solution, partir du haut de la falaise afin d'éviter la cascade. Le départ en pente à travers la broussaille est un peu "flippant" car nous ne pouvons amarrer que sur des arbustes.   Quinze mètres plus bas, une déviation est placée sur une branche d'aspect plus solide, ensuite un jet de quinze mètres plein vide mène sur un énorme pont rocheux. Après avoir décalé notre équipement, une nouvelle descente de trente mètres, fractionnée trois fois,  permet d'atteindre la salle d'entrée (longueur 20 m, largeur 15 m) d'où nous avons une vision fabuleuse de la cascade. Très rapidement nous sommes trempés par les embruns. La rivière part plein ouest dans une galerie   étroite (largeur 2 m, hauteur 8 m) où le courant est très violent.  De l'eau jusqu'au genoux, nous longeons la paroi pour progresser jusqu'à un bief profond que nous équipons d'une main courante. L'ambiance aquatique et la roche noire rendent l'endroit particulièrement sinistre et peu accueillant. Un nouveau bief d'un mètre de profondeur nécessite l'équipement d'une main courante de vingt mètres et l'utilisation de notre canot. Une  escalade de cinq mètres permet de court-circuiter la cascade (hauteur 1 m) qui barre maintenant le passage. La progression continue sur une vire de cinquante centimètres de large. Au bout de dix mètres elle se rétrécit,  c'est notre terminus. Nous apercevons plus loin la rivière faire un coude à droite. Elle semble buter  sur un siphon, mais cela reste à vérifier...
L'AMONT
La grotte de Maomao qui s'ouvre dans l'effondrement central permet d'accéder à la partie amont du réseau. Sa galerie principale (largeur15 m, hauteur 10 m), une des plus volumineuses du réseau, mène au bout de deux cent soixante mètres à un complexe de galeries qui constituent les grottes de Shizi, Daniu et Xiaoniu. Son parcours  agrémenté par quelques énormes concrétions  ne présente aucune difficulté majeure.
A trente mètres de l'entrée nous empruntons un départ qui se divise rapidement. A gauche un cours tronçon de galerie permet d'accéder à un petit porche. A droite, par un conduit parallèle à la galerie principale,  nous arrivons à un nouveau croisement.
Le départ sur la gauche mène à un secteur de la cavité où demeurent   de nombreux points d'interrogation. C'est une zone complexe de galeries basses et très humides, rappelant un peu nos réseaux alpins. Une conduite forcée descendante (diamètre 2 m) suivie d'un méandre étroit mènent au sommet d'une désescalade au bas de laquelle se trouve une rivière (30 l/s). Malheureusement elle siphonne à l'amont comme à l'aval à la cote - 89. Nous pouvons noter qu'elle se situe exactement sous le canyon de surface.
Le départ de droite mène après cent mètres de progression à un nouveau croisement !
Sa branche droite nous ramène après deux puits remontants (8 m et 5 m) à la galerie principale.
Sa branche gauche est un méandre glaiseux coupé de nombreux suçoirs qui nécessitent à chaque fois un équipement en corde fixe. Au bout de deux cents mètres, nous   jonctionnons  à  nouveau  avec la  grotte de  Shizi Dong.
Sous le porche de Mao Mao au pied de la falaise s'ouvre un puits de vingt cinq mètres. Il débute par une pente herbeuse et boueuse, suivie d'un jet de quinze mètres plein vide. Nous prenons  pied dans une salle  où trois départs s'offrent à nous :  deux galeries et un puits qui est colmaté  par l'argile dix mètres plus bas.
Nous suivons la galerie de droite et laissons une lucarne sur la gauche ainsi qu'un départ sur la droite qui débouche sur  un puits de huit mètres non descendu. La progression continue  plein nord et nous rejoignons, à travers un petit éboulis, le porche d'entrée de Dahei Dong.
Le  conduit de gauche quant à lui est peu engageant, dès le début il faut progresser sur plus de trente mètres en rampant dans la boue. Il reprend ensuite des dimensions humaines et mène dans une salle. Sur sa droite, nous apercevons la lucarne laissée auparavant. Sur sa gauche, part une belle galerie (largeur 5 m, hauteur 15 m) où nous pataugeons dans la boue jusqu'aux genoux. Après soixante mètres le plafond s'abaisse et de nouveau le ramping s'impose. Comme nous entendons le bruit de l'eau la motivation persiste ! Pourtant, le passage qui nous attend est délirant : d'abord un siphon qui doit s'amorcer en saison des pluies avec de l'eau jusqu'aux hanches, ensuite le même passage agrémenté de boue liquide. Il faut ramper sur cinq mètres, la moitié du visage dans la boue ! Moment très angoissant ! Heureusement derrière c'est de nouveau très grand, nous croisons un nouvel affluent qui siphonne rapidement en amont, tandis qu'en aval il s'engage dans un boyau trop étroit. Nous laissons sur la gauche un départ repartant vers l'aval et poursuivons dans la galerie large et boueuse où le courant d'air reste nettement sensible. Elle est entrecoupée de passages  bas et de "dunes" de boue qu'il faut descendre très délicatement en se laissant glisser. Au bout de trois cents mètres, nous laissons un nouveau départ et poursuivons encore cent mètres pour atteindre une nouvelle sortie, une de plus !
Dans cette partie du réseau de nombreux  points d'interrogation  demeurent ...
L'AVAL
Dahei Dong  permet par un beau porche (largeur 15 m, hauteur 7 m) d'accéder à la partie avale du réseau. Au bout de cent vingt mètres, le plafond s'abaisse (hauteur 2 m) sur un petit lac peu profond qui donne accès à une salle. Une dune de boue (hauteur 10 m), à l'arrête sommitale très pointue, en occupe la partie gauche. Le côté droit de la salle est occupé par un éboulis situé sous un beau puits de huit mètres de diamètre qui crève le plafond et  débouche sur le plateau. La galerie aux formes très pures se poursuit dans un décor austère où aucune concrétion ne vient agrémenter la progression. Le sol y est constitué d'argile imbibée d'eau, et les parois sont recouvertes d'une gangue d'argile très dure de plus de cinq centimètres d'epaisseur. Deux cents mètres après la salle un puits (puits de la souche) crève le plancher de la galerie qui se poursuit de l'autre côté. Il permet d'accéder à une partie du réseau inférieur. Le puits de la souche, profond de trente six mètres, en forme d'entonnoir débute par un pan incliné glaiseux qui conduit à un méandre de trois mètres de large. La descente en deux jets  mène sur un éboulis  au bas duquel une vasque d'eau boueuse arrête la progression. Juste au-dessus, une galerie fossile permet de progresser de cent cinquante mètres environ. Cette galerie, perpendiculaire aux strates,  est percée de nombreux conduits dont certains mènent à de petits actifs souvent étroits. Elle se termine dans l'un d'entre eux dans une zone siphonnante très fracturée. Seul espoir une escalade, à voir...
Deux  entrées voisines s'ouvrant dans un effondrement (Huazi Dong -8 m, Yunpan Dong -11m)  permettent de retrouver la galerie principale à l'aval du puits de la souche et d'éviter ainsi sa traversée. Trois cents mètres  plus loin après avoir traversé un petit lac (longeur 10 m, profondeur 1 m) nous arrivons au sommet d'un puits. Un peu  avant  un gros départ sur la gauche n'a pas été exploré. Ce puits d'une dizaine de mètres, incliné dans la boue, coupe la galerie  (largeur 4 m, hauteur 8 m).  Trente mètres plus loin elle tourne à gauche, et sa hauteur diminue pour faire place à un passage bas où nous progressons  à quatre pattes. Ensuite le plafond se relève et nous remontons de  vingt cinq mètres dans un éboulis en haut duquel la galerie reprend de belles dimensions (hauteur 10 m, largeur 10 m). Après quatre cents mètres de progression facile mais boueuse, la galerie est coupée par un premier suçoir, nous laissons sur la gauche un petit départ. Cinquante mètres plus loin, nous débouchons sur le plus gros suçoir de cette partie (profondeur 10 m), en haut à gauche deux départs  ne  seront pas explorés faute de temps. Cent mètres plus loin sur la gauche  une arrivée d'eau (2 à 3 l/s) provient  d'une belle galerie non explorée. Un remplissage de boue occupe toute la partie droite du  conduit principal et nous oblige à patauger dans le lit du ruisseau qui s'écoule lentement vers l'aval. Quatre vingts mètres  de progression mène à une épingle à cheveux où le ruisseau disparait sous des blocs. A la sortie du virage, nous débouchons dans une conduite forcée (diamètre 6 m) remontante où la boue a totalement disparue, quelques blocs épars jonchent le sol. Au bout de trente mètres un départ sur la droite est reconnu sur vingt mètres jusqu'à un suçoir ; la suite attend ses explorateurs ! A cet endroit, on peut noter la présence de l'unique concrétion de cette partie du réseau : une méduse formée par une arrivée d'eau tombant en pluie dans le suçoir. La conduite forcée quant à elle continue à monter, nous stoppons notre progression au bout de quarante mètres sur un nouveau croisement !- ^ -
Impression
28 septembre, objectif la perte de Santang. Gros point d'interrogation sur celle-ci, en saison des pluies elle se met en charge et vient noyer la vallée sous quatre vingts mètres d'eau. Christian et Jean luc se chargeront de l'équipement, Benoit et moi de la topo. Nous sommes à pied d'oeuvre, une cinquantaine de chinois assistent  à l'équipement d'une première désescalade dans le canyon qui mène à la perte. Nous commençons à tirer le fil topo alors que devant ils cherchent les passages. Stop, ça ne passera pas par là ; la rivière se jette dans un puits, 1m3/s dans quatre mètres de diamètre, ça craint ; il faudra équiper plus haut. Nous nous retrouvons, au dessus du canyon, décalés par rapport à l'entrée. Cette fois, c'est la bonne ; après débroussaillage dans les ronces, Christian trouve le passage et un point d'amarrage, un petit arbuste, double amarrage sur un petit tronc, déviation sur un arbre et nous nous retrouvons vingt cinq mètres plus bas sur un pont rocheux. A gauche un puits, de l'autre côté le même avec la rivière. Le perfo est en batterie, un frac, deux fracs, 3ème plein vide et nous voilà à la base de la cascade, ça bouillonne !! La rivière s'engouffre dans une galerie de trois mètres de large pour cinq à six mètres de haut. Tout est noir, lugubre enfin il ne pleut pas, c'est déjà pas mal ... Nous partons avec notre boite et notre fil, il va falloir la jouer fine. Première main courante, de l'eau jusqu'aux cuisses, je hurle les visées que Benoit s'active à écrire pas toujours dans de bonnes conditions. Devant,Jean-Luc et Christian se démènent, nous ne percevons aucun son familier de l'équipement, aucun cliquetis de mousquetons, de marteau et de tamponnoir, seul ce vacarme qui envahit la rivière et les cerveaux ... J'avance prudemment, les visées sont de plus en plus illisibles. Après une trentaine de mètres, nous rejoignons nos deux comparses : "alors ? " Rien de bon, la rivière ne cascade plus, le bruit est moins intense, nous allons pouvoir gonfler le bateau, mais, car il y a toujours un mais, la rivière fait un coude. De l'autre côté ? La dure impression d'une sérieuse cascade, on verra ! Jean-Luc embarque délicatement et se laisse conduire par le courant. Il s'arrête dix mètres plus loin et débarque tant bien que mal ; d'où il est, il lui sera possible d'atteindre une petite vire. Christian le rejoint. Nous en faisons autant, non sans mal, le fil topo à surveiller, les mesures à prendre ... "alors ?"
La vire s'arrête bien vite et la cascade est bien là ... Il est déjà tard, nous décidons d'arrêter l'exploration, de laisser équiper pour demain. La remontée se fera sans problème. A la sortie, la foule est encore là, les gens nous regardent en souriant, c'est sympa. Le temps est nuageux et menace. Il a plu une bonne partie de la nuit, l'équipe ne pourra pas pousser l'exploration plus loin et lever le point d'interrogation... Nous reviendrons peut-être ; pour l'instant Santang reste un mystère et un gouffre étonnant. ...FRANCK BARBARY...

BARBARY jean Pierre, ZHANG Shouyue(1988) : Guizhou expé 86. Spelunca Mémoires n° 16, 108 pp.,45 topos,cartes,graph., 48 phot.,n&b ou couleurs
co-éd. FFS ; Plongée Spéléo.-club Jeunes années (Vénissieux, Rhône) et l’Inst. Géol. Acad. Sci. chinoise
Analyse : BBS
Rapport de l’expédition et surtout de coopération entre la France et la Chine. Ce numéro de la série des “Spélunca Mémoires” est axé sur le karst et la géologie en Chine. Présentation de la géographie, karstogenèse, géomorphologie et hydrogéologie du karst du Centre et du Sud de la province du Guizhou, présentation des zones et des cavités étudiées. Etudes sur les roches carbonatées, les concrétions (datations), le phytokarst, la biologie. Présentation dans Spelunca nr.31/1988 : p 90 par Ph. Drouin (RL).

14925 caractères - Lu 222 Fois




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